Mieux vaut prévenir que mourir
C’est le slogan de la 33e campagne de l’Association québécoise de prévention du suicide (AQPS) qui se tient du 5 au 11 février 2023. Pourquoi une semaine de prévention sur le suicide ? Pourquoi parler du suicide ? Que faire si vous ou un proche avez des idées suicidaires ? Cette année, l’AQPS nous invite à oser parler du suicide. Une semaine de prévention sur le suicide La semaine nationale de prévention du suicide est un évènement de sensibilisation et de mobilisation. Cette année, la campagne de prévention met de l’avant l’importance de la prévention et invite les gens à oser parler du suicide, car chacun peut avoir un rôle actif en aidant à sauver une vie humaine. Selon l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), il y a eu 1055 suicides au Québec en 2020, soit 3 suicides par jour. Il y a 3 fois plus de suicide chez les hommes que les femmes et le taux de suicide est plus élevé chez les hommes âgés de 50 à 64 ans. Aussi, ce sont les jeunes filles et les adolescentes qui sont davantage hospitalisées pour des idées suicidaires ou une tentative, la statistique est de 11% pour les adolescentes âgées de 15 à 19 ans. C’est 2 fois plus qu’il y a 5 ans et les hospitalisations pour idées suicidaires augmentent pour les garçons de 14 à 19 ans. Parler du suicide Ces statistiques sont déroutantes et nous devons collectivement et individuellement soutenir les personnes qui auraient des idées suicidaires. Il n’est pas toujours aisé d’avoir une conversation sur le suicide. Or, si vous vous inquiétez pour une personne proche, prenez le temps de lui parler et de l’écouter. - Exprimez vos inquiétudes (je m’inquiète pour toi, comment vas-tu ? Tu n’as pas l’air d’aller ?) - Encouragez la personne à vous parler de ce qu’elle vit actuellement - Demandez-lui de clarifier ses propos inquiétants - Demandez-lui si elle pense au suicide (Est-ce que tu penses au suicide ? Est-ce que tu envisages de mettre fin à tes jours ? Est-ce que tu as l’intention de t’enlever la vie ?) - Invitez la personne à demander de l’aide Il faut toujours prendre les idées suicidaires au sérieux. Si vous pensez au suicide ou avez des inquiétudes pour un proche, des intervenants sont disponibles pour vous aider, 24/7 : Téléphone : (sans frais) 1-866-APPELLE (1-866-277-3553) Texto : 1-855-957-5353 Clavardage, informations, outils : www.suicide.ca Si la vie de la personne ou si vous êtes est en danger imminent de commettre un geste suicidaire ou s’il y a une menace de mettre d’autres vies en danger, appelez les services d’urgence (9-1-1). À la Clinique Hévéa, vous pouvon vous diriger vers la bonne ressource si vous vivez de la détresse émotionnelle, si vous pensez au suicide ou si le suicide semble pour vous une option. Vous êtes important.e.s pour nous ! Sources : Association québécoise de prévention du suicide Institut national de santé publique du QuébecL’acupuncture dans les soins du zona
Réactivation de la varicelle de votre enfance Le zona est causée par une réactivation du virus varicelle-zona, resté dormant dans les nerfs sensitifs du système nerveux suite à une varicelle. Si on ne connait pas les causes exactes de cette réactivation, on soupçonne une faiblesse du système immunitaire. Santé Canada estime qu’un canadien sur trois risque de développer le zona, heureusement rarement plus d’une fois. Différencier les symptômes du zona et consulter rapidement Imagé par des flammes ou des épines, le zona peut effectivement être très douloureux. Son apparition est toutefois progressive et on ne le soupçonnera pas toujours au début : picotements, démangeaisons et rougeurs peuvent être confondus avec de l’acné ou une éraflure, mais si des vésicules apparaissent, que la douleur se précise d’un seul côté du corps et devient aiguë au point qu’on ne peut plus supporter de vêtements, il faut penser à un zona. Il est important de consulter un médecin dans les 72 heures suivant l’apparition des premiers symptômes afin d’assurer l’efficacité des antiviraux, particulièrement si les yeux ou les oreilles sont touchés. La plupart du temps, les vésicules sèchent après environ 5 jours et la crise douloureuse diminue après 3 semaines. Toutefois, dans 10% des cas et plus souvent chez les personnes âgées, une névralgie post-zostérienne s’installe et la douleur perdure au-delà de 90 jours. L’acupuncture au secours de la douleur L’acupuncture s’avère être un excellent complément de soins aux douleurs du zona. La médecine traditionnelle chinoise interprète les symptômes du zona comme un Feu poison qui doit être évacué par la peau : ce Feu doit être dispersé et la zone atteinte rafraîchie. Le traitement d’acupuncture est global : il cible la diminution de la douleur aiguë, la réduction de l’anxiété souvent présente et la prévention de la névralgie post-zostérienne. La réduction des croûtes est souvent observable visuellement dès la première séance. Les patients relatent aussi éprouver moins de fatigue et apprécier l’apaisement général que leur procure le traitement. À quel moment devez-vous consulter votre acupuncteur.e ? Vous pouvez consulter en acupuncture à tous les stades du zona et il est fortement recommandé de le faire tôt afin d’augmenter l’effet des traitements et de réduire le nombre de séances nécessaires. Références Mercks PubMed Santé Publique CanadaSurvivre à la fin de session
Cette période où les lumières du temps des Fêtes s’allument est aussi celle où la tension monte pour tous les étudiants qui devront affronter leur fin de session collégiale ou universitaire. Les professionnels de la Clinique Hévéa, ayant eux-mêmes été longtemps étudiants, connaissent trop bien les défis physiques et psychologiques qui font partie intégrante des fins de session. Contexte éprouvant pour la santé Qui dit enfilade d’examens dit longues heures immobiles à étudier, sommeil souvent écourté, alimentation sur le pouce, effort mental soutenu, anxiété de réussite. Cette combinaison de facteurs a de quoi mettre la santé des étudiants à rude épreuve. Vos professionnels vous partagent quelques astuces pour mieux traverser ce marathon de travail. On ne le dira jamais assez, il faut bouger ! L’activité physique est votre alliée numéro un. En effet, elle est reconnue pour réduire le stress, se sentir mieux dans son corps et dans sa tête. L’exercice améliore la concentration et la qualité du sommeil. Pas le temps, vous pensez ? De 15 à 30 minutes par jour suffisent pour vous apporter des bienfaits. Une marche active dans votre quartier fera l’affaire en plus de vous oxygéner le cerveau, votre outil de travail le plus important. Prenez de courtes pauses pendant votre étude pour vous lever et vous étirer ou faire quelques squats, par exemple. Un peu d’ergonomie Pour mieux tolérer les postures statiques pendant les heures d’études, vos professionnels vous recommandent de changer régulièrement de posture. Une chaise de bureau bien ajustée par rapport au bureau et à l’écran est un bon départ. Mais même assis selon les meilleurs standards, votre corps se lassera d’être dans la même position. Quelques solutions ergonomiques Alternez avec une posture debout dès que vous le pouvez; Utilisez un ballon suisse pour vous asseoir pendant 10 minutes pour stimuler vos muscles dorsaux; Installez-vous sur un sofa, le dos appuyé bien droit sur des coussins avec un support sur vos genoux; Lisez à plat ventre sur votre lit pour une période de 10 minutes. Bien se nourrir et s’hydrater Lorsque le temps nous manque et encore plus lorsqu’on est stressé, on est porté à se gaver de repas prêts-à-manger, de café et de boissons sucrées. Pourtant les aliments riches en gras et en sucres raffinés provoqueront des baisses d’énergie. Grignotez plutôt des fruits, légumes, noix et graines en étudiant ou prenez des pauses pour cuisiner un petit plat santé. Aussi, hydratez-vous adéquatement. Nourrissez vos neurones de bon carburant pour soutenir votre acuité mentale ! Dormir Le sommeil est un autre essentiel. Il est recommandé de dormir 7 à 8 h par nuit. Une bonne hygiène de sommeil améliore l’humeur, la concentration ainsi que la capacité d’apprentissage. Le genre d’atouts qu’on recherche en fin de session ! Pour un sommeil de meilleure qualité, évitez de regarder un écran 30 minutes avant de vous coucher et évitez également de manger 2 heures avant. Gérer son stress Le stress nous prive de nos pleines capacités d’attention, de jugement, d’analyse et de mémorisation. Trouvez le meilleur moyen pour le réduire. Par exemple, en s’organisant pour se sentir bien préparé à un examen, en prenant des pauses d’études régulièrement pour faire quelque chose qui nous fait du bien (bouger, écouter de la musique, méditer ou appeler un ami). Et si ça ne va pas ? Une proportion importante d’étudiants souffrent de maux de cou et de maux de tête. En effet, la posture d’étude est particulièrement éprouvante pour le cou. La tête étant souvent portée vers l’avant, les muscles, disques et nerfs de la région cervicale peuvent engendrer de la douleur dans le cou et les épaules ainsi que des engourdissements aux mains. La céphalée de tension La céphalée de tension est un type de mal de tête aussi fréquent chez les étudiants. Celle-ci se présente comme une douleur sourde et continue à la tête décrite comme une sensation de pression au front, aux tempes et/ou derrière la tête. Causes des céphalées de tension Un manque de sommeil; Une déshydratation; Un repas sauté; Le stress; Une charge de travail excessive; Le serrement de mâchoire; La fatigue musculaire au niveau de la tête ou du cou. Une douleur passagère peut être gérée en contrôlant les causes identifiées, soit avec le repos et la relaxation, une meilleure hydratation, une douche chaude ou un sac chaud au niveau du cou. Par contre, si une douleur persiste au-delà de quelques jours ou réapparaît régulièrement, n’hésitez pas à consulter vos professionnels de la santé chez Clinique Hévéa. Ils peuvent vous aider en unissant leurs compétences à traverser votre fin de session avec un maximum de confort ! Bon succès à tous nos étudiants ! Pour prendre rendez-vous.Nos thérapies complémentaires pour soulager les effets secondaires des traitements contre le cancer
Les thérapies complémentaires et parallèles ne traitent pas le cancer à proprement parler. Elles visent plutôt l’amélioration de votre bien-être en général et de votre santé en vous aidant à vous adapter physiquement et émotivement aux traitements classiques du cancer. Leurs bienfaits sont d’ailleurs aujourd’hui reconnus par la communauté médicale. Bon nombre de ces thérapies peuvent aider à soulager certains effets secondaires liés aux traitements contre le cancer, comme les nausées ou la fatigue. Qui plus est, elles sont employées sans danger concomitamment aux traitements classiques contre le cancer. Elles peuvent vous aider à faire face au stress, à l’anxiété et aux autres défis que vous pourriez avoir à affronter au cours de votre chemin. L’acupuncture pour vous accompagner L’utilisation de l’acupuncture pour soulager les nausées provoquées par la chimiothérapie est un exemple de thérapie complémentaire. Diverses études menées au cours des dernières années, notamment par le National Cancer Institute (NCI), démontrent scientifiquement l’efficacité des traitements d’acupuncture en oncologie, pour : · Réduire les nausées et les vomissements liés à la chimiothérapie, particulièrement dans le cas du cancer du sein · Réduire le stress, l’anxiété, les symptômes dépressifs et la fatigue · Améliorer le sommeil · Diminuer les douleurs et dysfonctions post-chirurgicales, dont les cicatrices et adhérences · Traiter la sécheresse de la bouche induite par la radiothérapie · Atténuer les effets secondaires des traitements anti-hormonaux pour le cancer du sein · Diminuer les bouffées de chaleur pour les cancers du sein et de la prostate · Soulager les neuropathies périphériques · Améliorer le système immunitaire · Augmenter la vitalité durant les traitements de chimiothérapie et radiothérapie · Diminuer les lymphœdèmes L’ostéopathie en cas de mastectomie En effet, avoir recours à des traitements d’ostéopathie peut aussi être bénéfique, entre autres pour les patients qui ont subi des mastectomies. En effet, l’ostéopathe visera à diminuer les douleurs associées aux tensions musculaires tout en redonnant une amplitude articulaire. Le traitement visera également à favoriser le sommeil et à diminuer le niveau de stress. Pendant les traitements de chimiothérapie ou de radiothérapie, l’ostéopathe concentrera son traitement sur les douleurs persistantes, dont les neuropathies périphériques. En post-chirurgie, l’objectif sera de traiter, s’il y a lieu, les adhérences des cicatrices, pouvant provoquer des douleurs neuropathiques et nuire au glissement des fascias et ainsi interférer dans la fonction des muscles, des articulations et des nerfs. Prendre soin de votre santé mentale, un atout important Recevoir une nouvelle comme celle d’un diagnostic de cancer peut grandement affecter votre équilibre mental. Cela est normal. Une telle nouvelle peut demander beaucoup de réorganisation, tant au niveau de la famille que du travail, entre autres. Consulter un professionnel en santé mentale permet de poser nos questions à une personne de confiance en terrain neutre. Ce professionnel pourra aussi vous accompagner dans ces grands changements de vie, alors que vous aurez à vous adapter dans un très court laps de temps à une nouvelle réalité. La massothérapie La massothérapie peut être employée pour soulager les muscles endoloris ainsi que la raideur musculaire. On y a aussi recours pour réduire la douleur (comme les maux de tête et la douleur au bas du dos), l’anxiété et le stress. Elle favorise une circulation tout en améliorant la relaxation. Selon la Société canadienne du cancer, des études ont démontré que la massothérapie favorise à atténuer le stress, l’anxiété, la douleur, la fatigue et la dépression. Elle peut aussi aider à réduire l’insomnie en améliorant la qualité du sommeil. Services offerts chez Clinique Hévéa pour vous accompagner en cas d'effets secondaires de vos traitements classiques contre le cancer Acupuncture Ostéopathie MassothérapieL'impact du changement de saison sur notre humeur
Plusieurs d’entre nous peuvent trouver la période de l’automne difficile… Que nous soyons confrontés à une dépression saisonnière, à une maladie ou à une baisse d’énergie, il est tout à fait normal de vivre des périodes de hauts et de bas. En fait, nous sommes soumis aux mêmes lois que la nature, c’est-à-dire que notre vie est parsemée de cycles. Une chose est certaine, ces cycles font partie de la vie et sont inévitables. Par contre, il y a une façon de faciliter cette transition. Quelques idées pour faciliter les transitions saisonnières Ne pas y résister ! La souffrance vient davantage de la non-acceptation d’une situation que de la situation elle-même. Faites de votre mieux pour vous laisser porter par cette vague, même si elle est inconfortable. Ne pas s’identifier à la situation que vous vivez. Encore une fois, il est tout à fait normal de vivre des hauts et des bas, des réussites et des échecs, des périodes où on a plus d’énergie et d’autres où on est plus fatigués. Heureusement, tout change ! Tentez de voir cette période comme une expérience que vous faites au lieu de vous définir comme celle-ci. Par exemple, de vous identifier comme quelqu’un de dépressif, d’anxieux ou de colérique ne vous aidera probablement pas à sortir de cet état… Tentez simplement d’accueillir l’émotion que vous vivez actuellement en vous rappelant qu’il s’agit d’une expérience temporaire de tristesse, d’anxiété ou de colère… Cela aussi changera ! Offrez-vous du temps de repos et de régénération. Souvent, quand nous avons une baisse de motivation et d’énergie, c’est simplement un signal de notre corps qui nous indique qu’il a besoin de repos. Au lieu de lutter contre ce besoin légitime, permettez-vous de ralentir le rythme, de vous offrir des moments de ressourcement comme aller dans la nature ou vous offrir un massage. Dans tous les cas, prenez soin de vous avec amour et bienveillance au lieu de vous critiquer et de vous culpabiliser de ne pas être aussi productif que d’habitude. Si vous en ressentez le besoin, sachez que plusieurs services offerts à la clinique peuvent vous aider à traverser cette période avec plus de douceur et de légèreté, que ce soit grâce à la massothérapie, à l’acupuncture ou à du soutien psychologique. Pour pour prendre rendez-vous en ligne, c'est par ici.Les effets négatifs du changement d’heure sur votre santé
Deux fois par an, c’est la même histoire, on change d’heure ! Cet automne, il aura lieu dans la nuit du 5 au 6 novembre. Cette fois, on recule d’une heure. Un bon truc pour se souvenir si l’on doit reculer ou avancer : en mArs on Avance et en novembRE on REcule. On parle beaucoup de l’origine du changement d’heure dans les médias, mais saviez-vous que ce fameux changement d’heure provoque des effets bien réels sur notre santé ? Horloge biologique perturbée Pour simplifier, notre cerveau a une horloge biologique de 24 h, qui se nomme le cycle «circadien». Ce cycle gère et régule plusieurs fonctions de notre corps, comme la digestion, par exemple. Le changement d’heure a un grand impact sur notre sommeil et dérègle notre horloge biologique. Le changement d'heure du printemps est reconnu plus difficile que celui d’automne, car on perd une heure au lieu de la gagner. Mais le changement d’heure de l’automne dérègle suffisamment notre cycle circadien pour causer plusieurs effets bien documentés, comme : — le manque de sommeil— la mauvaise humeur
— de la difficulté à se concentrer
— des maux de tête
— des rages de sucre L’impact de ce changement est souvent plus difficile pour les personnes dont l’horaire est plus rigide, on pense aux travailleur•euses qui débutent tôt et les jeunes enfants. Plusieurs études ont aussi démontré une augmentation des accidents de la route et une baisse générale de la productivité. L’adaptation au changement d’heure dépend des individus, mais peut prendre jusqu’à une semaine, parfois plus. Comment s’y préparer Comme les effets du changement d’heure s’apparentent aux difficultés de sommeil, les conseils se ressemblent aussi. Voici quelques trucs et astuces : — privilégier la pause du midi pour aller dehors
— moins s'exposer à la lumière bleue des écrans ordi, tablettes, cellulaires
— diminuer la consommation de café et d’alcool
— faire de l’exercice dans la journée
— utiliser des méthodes de relaxation avant le coucher Avec les enfants, un bon truc est de devancer de 15 minutes l’heure du coucher chaque soir des jours précédents. Il faut aussi privilégier la consommation des bonbons d’Halloween (s’il en reste !) et du sucre dans la journée plutôt qu’au dessert du souper. L’acupuncture au service du sommeil L’acupuncture, comme la lumière naturelle, augmente la sécrétion de la sérotonine, ce qui a un effet global sur le corps. Le traitement de changement d’heure, tout comme celui du décalage horaire, vise à rééquilibrer l’organisme et à rétablir le fonctionnement régulier des différents systèmes qui sont perturbés par les changements de l’environnement. Le sommeil, l’humeur, la digestion et l’énergie sont rapidement améliorés. Pour prendre rendez-vous avec l'une de nos trois acupuncteures chez Clinique Hévéa, suivez ce lien.