Il faut pelleter ? Suivez le guide !
Puisqu’il est inévitable pour plusieurs de pratiquer ce sport bien involontaire, voici, en ce début de saison, quelques conseils d’usage pour bien s’exécuter à la pelle ! L’ABC du pelletage sécuritaire Comme pour bien des sports, le bon équipement rend l’expérience plus agréable et plus sécuritaire. À la base, portez un bon manteau respirant et de bonnes bottes antidérapantes. Choisissez une pelle légère et adéquate pour votre taille et portez attention à votre technique. Respectant les conseils des pros, poussez la neige plutôt que de la soulever, pliez les genoux et évitez les torsions. Finalement, en vous échauffant les muscles pour les préparer à l’effort, et en coupant la tâche en plusieurs séances intercalées de pauses, vous réduirez vos risques de blessures. Évidemment, il est bon de rappeler que les personnes souffrant de conditions cardiaques ou dorsales devraient éviter le plus possible le pelletage. Nous vous invitons à suivre les conseils professionnels de l’Association chiropratique canadienne ici. Pelleter a aussi des avantages ! D'accord, les goûts sont partagés. Certains pellettent dans la joie et d’autres pas ! Quoiqu’on en pense, le pelletage n’est pas qu’une corvée. Il présente aussi de bons côtés. Voici quelques avantages de cette activité, cités par l’Association chiropratique québécoise : – c’est un exercice physique qui permettrait de brûler 180 à 266 calories par 30 minutes ; – les bons mouvements de pelletage renforcent les muscles des épaules, des bras, du dos, de la ceinture abdominale et des jambes ; – passer du temps à l’extérieur par temps ensoleillé permet de faire le plein de vitamine D. La lumière naturelle aurait également un effet bénéfique sur l’humeur ; – c’est l’occasion de mettre la famille à contribution et de s’amuser avec les enfants à l’extérieur. Si ça ne va pas Les douleurs au bas dos, aux épaules et au cou sont particulièrement communes avec le pelletage, comme avec d’autres activités physiques exigeantes. Des blessures plus sévères tels que les entorses lombaires et les hernies discales peuvent être engendrées par des mouvements mal exécutés. Si vous ressentez des inconforts ou des douleurs suite à votre activité de pelletage, ne les ignorez pas. Consultez votre équipe de professionnels de chez Clinique Hévéa. Ils s’y connaissent en blessures musculo-squelettiques !Pathologies de la région achilléenne (ou du talon)
Notre rencontre mensuelle de décembre portait sur les différentes blessures du talon et de la région du tendon d’Achille. Des membres de l’équipe ont proposé des traitements qui visent à améliorer les pathologies qui s’y rattachent. Les différentes pathologies -enthésopathie : douleur à l’endroit où le tendon d’Achille s’insère dans la partie postérieure du calcanéum. En général, les personnes ressentent une douleur à la marche, à l’arrière du talon. -tendinopathie (du tendon d’Achille) : maladie douloureuse du tendon, cette structure fibreuse qui relie le muscle à l’os. Cette douleur peut être intense, au point de gêner les gestes de la vie quotidienne. -bursite rétro achilléenne : la bursite antérieure du tendon d’Achille est une inflammation de la bourse rétrocalcanéenne, située en avant de l’insertion du tendon d’Achille sur le calcanéum (os du talon). -rupture complète : déchirure complète du tendon d’Achille. -maladie de Haglund : malformation de l’os du talon qui est haut, pointu, saillant en haut et en arrière et qui entraîne une inflammation du tendon d’Achille à son contact. La région du talon concerne principalement trois structures importantes : le muscle triceps sural, le tendon d’Achille et le calcanéum, en plus de tous les autres muscles de bas de la jambe qui viennent s’insérer au pied. Les personnes les plus à risque de développer une pathologie du talon sont d’abord les athlètes, dont les coureurs, qui sont 10 fois plus à risque que la population générale. À l’opposé, les personnes sédentaires représentent le 1/3 des cas. Déclencheurs Dans les déclencheurs de telles pathologies, des facteurs extrinsèques et intrinsèques sont observés. Facteurs extrinsèques : -le changement radical du patron d’entraînement ou une mauvaise technique ; -le choix de chaussure ; -la surface d’entraînement (dure, inégale, glissante). Facteurs intrinsèques : -la morphologie du pied et du membre inférieur ; -l’instabilité de la cheville ; -le contexte métabolique (déshydratation, acidification). Symptômes rencontrés : -douleur à la palpation ; -sensibilité à la pression ; -raideur ; -épaississement des tissus et œdème ; -démarche antalgique. Traitements Le physiothérapeute pourra vous proposer des exercices d’étirement et de renforcement excentrique visant à assouplir le tendon, entre autres. Conjointement, des traitements de massothérapie viendront assouplir les muscles périphériques en adressant directement les points détentes (trigger points) qui s’y trouvent. Enfin, l’acupuncture aura aussi un effet bénéfique, alors que l’acupuncteur viendra insérer quelques aiguilles près de la douleur pour favoriser, entre autres, les échanges cellulaires près du site lésé. Il pourra aussi, bien sûr, adresser les points détentes des muscles du mollet qui, si trop tendus, dérangent l’intégrité du talon. Vous avez des questions ? Prenez rendez-vous avec notre physiothérapeute pour obtenir une évaluation de votre condition. Prendre rendez-vous avec Martin Gorgiev, physiothérapeute. Prendre rendez-vous en massothérapie. Prendre rendez-vous en acupuncture.Nos thérapies complémentaires pour soulager les effets secondaires des traitements contre le cancer
Les thérapies complémentaires et parallèles ne traitent pas le cancer à proprement parler. Elles visent plutôt l’amélioration de votre bien-être en général et de votre santé en vous aidant à vous adapter physiquement et émotivement aux traitements classiques du cancer. Leurs bienfaits sont d’ailleurs aujourd’hui reconnus par la communauté médicale. Bon nombre de ces thérapies peuvent aider à soulager certains effets secondaires liés aux traitements contre le cancer, comme les nausées ou la fatigue. Qui plus est, elles sont employées sans danger concomitamment aux traitements classiques contre le cancer. Elles peuvent vous aider à faire face au stress, à l’anxiété et aux autres défis que vous pourriez avoir à affronter au cours de votre chemin. L’acupuncture pour vous accompagner L’utilisation de l’acupuncture pour soulager les nausées provoquées par la chimiothérapie est un exemple de thérapie complémentaire. Diverses études menées au cours des dernières années, notamment par le National Cancer Institute (NCI), démontrent scientifiquement l’efficacité des traitements d’acupuncture en oncologie, pour : · Réduire les nausées et les vomissements liés à la chimiothérapie, particulièrement dans le cas du cancer du sein · Réduire le stress, l’anxiété, les symptômes dépressifs et la fatigue · Améliorer le sommeil · Diminuer les douleurs et dysfonctions post-chirurgicales, dont les cicatrices et adhérences · Traiter la sécheresse de la bouche induite par la radiothérapie · Atténuer les effets secondaires des traitements anti-hormonaux pour le cancer du sein · Diminuer les bouffées de chaleur pour les cancers du sein et de la prostate · Soulager les neuropathies périphériques · Améliorer le système immunitaire · Augmenter la vitalité durant les traitements de chimiothérapie et radiothérapie · Diminuer les lymphœdèmes L’ostéopathie en cas de mastectomie En effet, avoir recours à des traitements d’ostéopathie peut aussi être bénéfique, entre autres pour les patients qui ont subi des mastectomies. En effet, l’ostéopathe visera à diminuer les douleurs associées aux tensions musculaires tout en redonnant une amplitude articulaire. Le traitement visera également à favoriser le sommeil et à diminuer le niveau de stress. Pendant les traitements de chimiothérapie ou de radiothérapie, l’ostéopathe concentrera son traitement sur les douleurs persistantes, dont les neuropathies périphériques. En post-chirurgie, l’objectif sera de traiter, s’il y a lieu, les adhérences des cicatrices, pouvant provoquer des douleurs neuropathiques et nuire au glissement des fascias et ainsi interférer dans la fonction des muscles, des articulations et des nerfs. Prendre soin de votre santé mentale, un atout important Recevoir une nouvelle comme celle d’un diagnostic de cancer peut grandement affecter votre équilibre mental. Cela est normal. Une telle nouvelle peut demander beaucoup de réorganisation, tant au niveau de la famille que du travail, entre autres. Consulter un professionnel en santé mentale permet de poser nos questions à une personne de confiance en terrain neutre. Ce professionnel pourra aussi vous accompagner dans ces grands changements de vie, alors que vous aurez à vous adapter dans un très court laps de temps à une nouvelle réalité. La massothérapie La massothérapie peut être employée pour soulager les muscles endoloris ainsi que la raideur musculaire. On y a aussi recours pour réduire la douleur (comme les maux de tête et la douleur au bas du dos), l’anxiété et le stress. Elle favorise une circulation tout en améliorant la relaxation. Selon la Société canadienne du cancer, des études ont démontré que la massothérapie favorise à atténuer le stress, l’anxiété, la douleur, la fatigue et la dépression. Elle peut aussi aider à réduire l’insomnie en améliorant la qualité du sommeil. Services offerts chez Clinique Hévéa pour vous accompagner en cas d'effets secondaires de vos traitements classiques contre le cancer Acupuncture Ostéopathie MassothérapieLa thérapie au laser : une solution alternative et complémentaire à votre guérison !
La thérapie au laser permet de traiter efficacement certaines conditions musculo-squelettiques pour lesquelles d’autres thérapies manuelles n’ont pas eu l’effet escompté. Elle peut aussi être utilisée en complément à d’autres thérapies lors de conditions aiguës ou chroniques. Qu’est-ce que cette thérapie ? La thérapie au laser est un traitement médical qui utilise une lumière focalisée pour stimuler un processus appelé photobiomodulation. Au cours de ce processus, les photons pénètrent dans les tissus et interagissent avec le cytochrome c dans les mitochondries. Cette interaction déclenche une cascade biologique qui entraîne une augmentation du métabolisme cellulaire, ce qui peut diminuer la douleur et accélérer le processus de guérison.Clinique Hévéa possède le laser froid de grade IV de marque LiteCure. Il s’agit d’un outil thérapeutique sécuritaire et efficace approuvé par Santé Canada. Voilà une solution non invasive, non chirurgicale et non douloureuse. Comment ça fonctionne ? La thérapie par photobiomodulation est définie comme une forme de luminothérapie qui utilise des sources lumineuses non ionisantes. Il s’agit d’un processus sans chaleur qui aboutit à des résultats thérapeutiques bénéfiques. Elle permet de : Soulager la douleur Favoriser l’immunomodulation Favoriser la cicatrisation des plaies Régénerer des tissus Diminuer l’inflammation Augmenter la microcirculation sanguine En favorisant la régénérescence cellulaire, la thérapie au laser permet d’accélérer efficacement le processus de guérison de la blessure en quelques séances. Quelles sont les conditions pouvant être traitées ? De nombreuses conditions aiguës ou chroniques peuvent être traitées telles que : Douleur au dos Douleur au cou Douleur sciatique Tendinite, bursite, épicondylite Entorse Fasciite plantaire Douleurs arthritiques Blessure discale Blessures sportives Blessures musculaires Syndrome du tunnel carpien Problème de mâchoire La thérapie au laser vous intéresse ? Une évaluation auprès d’un professionnel de la santé qualifié à la Clinique Hévéa pourra vous indiquer si cette thérapie peut vous convenir.