Mieux vaut prévenir que mourir
C’est le slogan de la 33e campagne de l’Association québécoise de prévention du suicide (AQPS) qui se tient du 5 au 11 février 2023. Pourquoi une semaine de prévention sur le suicide ? Pourquoi parler du suicide ? Que faire si vous ou un proche avez des idées suicidaires ? Cette année, l’AQPS nous invite à oser parler du suicide. Une semaine de prévention sur le suicide La semaine nationale de prévention du suicide est un évènement de sensibilisation et de mobilisation. Cette année, la campagne de prévention met de l’avant l’importance de la prévention et invite les gens à oser parler du suicide, car chacun peut avoir un rôle actif en aidant à sauver une vie humaine. Selon l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), il y a eu 1055 suicides au Québec en 2020, soit 3 suicides par jour. Il y a 3 fois plus de suicide chez les hommes que les femmes et le taux de suicide est plus élevé chez les hommes âgés de 50 à 64 ans. Aussi, ce sont les jeunes filles et les adolescentes qui sont davantage hospitalisées pour des idées suicidaires ou une tentative, la statistique est de 11% pour les adolescentes âgées de 15 à 19 ans. C’est 2 fois plus qu’il y a 5 ans et les hospitalisations pour idées suicidaires augmentent pour les garçons de 14 à 19 ans. Parler du suicide Ces statistiques sont déroutantes et nous devons collectivement et individuellement soutenir les personnes qui auraient des idées suicidaires. Il n’est pas toujours aisé d’avoir une conversation sur le suicide. Or, si vous vous inquiétez pour une personne proche, prenez le temps de lui parler et de l’écouter. - Exprimez vos inquiétudes (je m’inquiète pour toi, comment vas-tu ? Tu n’as pas l’air d’aller ?) - Encouragez la personne à vous parler de ce qu’elle vit actuellement - Demandez-lui de clarifier ses propos inquiétants - Demandez-lui si elle pense au suicide (Est-ce que tu penses au suicide ? Est-ce que tu envisages de mettre fin à tes jours ? Est-ce que tu as l’intention de t’enlever la vie ?) - Invitez la personne à demander de l’aide Il faut toujours prendre les idées suicidaires au sérieux. Si vous pensez au suicide ou avez des inquiétudes pour un proche, des intervenants sont disponibles pour vous aider, 24/7 : Téléphone : (sans frais) 1-866-APPELLE (1-866-277-3553) Texto : 1-855-957-5353 Clavardage, informations, outils : www.suicide.ca Si la vie de la personne ou si vous êtes est en danger imminent de commettre un geste suicidaire ou s’il y a une menace de mettre d’autres vies en danger, appelez les services d’urgence (9-1-1). À la Clinique Hévéa, notre travailleuse sociale peut vous accompagner et vous soutenir si vous vivez de la détresse émotionnelle, si vous pensez au suicide ou si le suicide semble pour vous une option. Vous êtes important.e.s pour nous ! Sources : Association québécoise de prévention du suicide Institut national de santé publique du QuébecIl faut pelleter ? Suivez le guide !
Puisqu’il est inévitable pour plusieurs de pratiquer ce sport bien involontaire, voici, en ce début de saison, quelques conseils d’usage pour bien s’exécuter à la pelle ! L’ABC du pelletage sécuritaire Comme pour bien des sports, le bon équipement rend l’expérience plus agréable et plus sécuritaire. À la base, portez un bon manteau respirant et de bonnes bottes antidérapantes. Choisissez une pelle légère et adéquate pour votre taille et portez attention à votre technique. Respectant les conseils des pros, poussez la neige plutôt que de la soulever, pliez les genoux et évitez les torsions. Finalement, en vous échauffant les muscles pour les préparer à l’effort, et en coupant la tâche en plusieurs séances intercalées de pauses, vous réduirez vos risques de blessures. Évidemment, il est bon de rappeler que les personnes souffrant de conditions cardiaques ou dorsales devraient éviter le plus possible le pelletage. Nous vous invitons à suivre les conseils professionnels de l’Association chiropratique canadienne ici. Voici une vidéo pour un résumé avant de vous élancer. Pelleter a aussi des avantages ! D'accord, les goûts sont partagés. Certains pellettent dans la joie et d’autres pas ! Quoiqu’on en pense, le pelletage n’est pas qu’une corvée. Il présente aussi de bons côtés. Voici quelques avantages de cette activité, cités par l’Association chiropratique québécoise : – c’est un exercice physique qui permettrait de brûler 180 à 266 calories par 30 minutes ; – les bons mouvements de pelletage renforcent les muscles des épaules, des bras, du dos, de la ceinture abdominale et des jambes ; – passer du temps à l’extérieur par temps ensoleillé permet de faire le plein de vitamine D. La lumière naturelle aurait également un effet bénéfique sur l’humeur ; – c’est l’occasion de mettre la famille à contribution et de s’amuser avec les enfants à l’extérieur. Si ça ne va pas Les douleurs au bas dos, aux épaules et au cou sont particulièrement communes avec le pelletage, comme avec d’autres activités physiques exigeantes. Des blessures plus sévères tels que les entorses lombaires et les hernies discales peuvent être engendrées par des mouvements mal exécutés. Si vous ressentez des inconforts ou des douleurs suite à votre activité de pelletage, ne les ignorez pas. Consultez votre équipe de professionnels de chez Clinique Hévéa. Ils s’y connaissent en blessures musculo-squelettiques !Être fin prêt pour les sports de glisse
Voilà, l’hiver s’installe enfin. Nous pouvons maintenant pratiquer nos sports de glisse préférés, dont le ski de fond, le ski alpin et le patin. Mais soyons d’abord prêts physiquement afin d’éviter les blessures. Voici nos conseils sur le plan de la préparation, d’exercices, d’échauffement et de nutrition. La préparation La première règle pour éviter les blessures, c’est la préparation du corps. Quelques semaines avant de sauter sur vos skis ou autres équipements, assurez-vous de modifier votre entraînement afin d’y inclure des exercices ciblés pour les groupes de muscles concernés (fessiers, quadriceps), des exercices de gainage et des exercices de proprioceptions. Cela évitera d’être confronté à des crampes ou des douleurs articulaires. Exercez-vous de façon régulière Afin de vous préparer, vous pourriez débuter par des exercices de proprioception en vous tenant sur un pied, tout en ouvrant et fermant les yeux. Pour préparer votre ceinture pelvienne, il suffit d’intégrer des exercices pour les abdominaux et pour le gainage. Pour les jambes, vous pourriez par exemple faire des squats centraux et de côté (qui favoriseront les muscles des jambes et l’articulation du genou), le pont et la planche, qui elle travaille le corps de façon globale. Oui, oui, il faut s’échauffer! L’échauffement vise à réveiller les muscles en activant la circulation sanguine. Bien sûr, exécuter quelques mouvements rotatoires et d’extension des poignets, épaules, chevilles et hanches est un excellent début. Étirez aussi vos quadriceps, vos mollets (gastrocnémiens et soléaire) et vos ischiojambiers. Ensuite, pour augmenter l’apport en sang dans les muscles, vous pourriez choisir de faire un léger jogging, ce qui aura aussi pour effet de réveiller le muscle le plus important, votre cœur. Se nourrir adéquatement Avoir du bon carburant pour les muscles est gage de plaisir. En effet, en étant bien nourri, vous aurez moins de chance de faire face à une crampe, entre autres. Choisissez des aliments qui vous apporteront un maximum d’énergie et qui sont riches en protéines. Cela permettra à vos muscles d’être nourris pour une longue période. N’oubliez pas les glucides, présents dans les fruits, entre autres. Enfin, l’hydratation! On peut avoir tendance à l’oublier, puisque l’hiver, il fait froid. Malgré tout, vous transpirez! Si malgré tous ces conseils pour subissez une blessure, consultez notre site web pour voir comment nos professionnels peuvent vous aider à récupérer de votre blessure. Profitez bien de l’hiver!Survivre à la fin de session
Cette période où les lumières du temps des Fêtes s’allument est aussi celle où la tension monte pour tous les étudiants qui devront affronter leur fin de session collégiale ou universitaire. Les professionnels de la Clinique Hévéa, ayant eux-mêmes été longtemps étudiants, connaissent trop bien les défis physiques et psychologiques qui font partie intégrante des fins de session. Contexte éprouvant pour la santé Qui dit enfilade d’examens dit longues heures immobiles à étudier, sommeil souvent écourté, alimentation sur le pouce, effort mental soutenu, anxiété de réussite. Cette combinaison de facteurs a de quoi mettre la santé des étudiants à rude épreuve. Vos professionnels vous partagent quelques astuces pour mieux traverser ce marathon de travail. On ne le dira jamais assez, il faut bouger ! L’activité physique est votre alliée numéro un. En effet, elle est reconnue pour réduire le stress, se sentir mieux dans son corps et dans sa tête. L’exercice améliore la concentration et la qualité du sommeil. Pas le temps, vous pensez ? De 15 à 30 minutes par jour suffisent pour vous apporter des bienfaits. Une marche active dans votre quartier fera l’affaire en plus de vous oxygéner le cerveau, votre outil de travail le plus important. Prenez de courtes pauses pendant votre étude pour vous lever et vous étirer ou faire quelques squats, par exemple. Un peu d’ergonomie Pour mieux tolérer les postures statiques pendant les heures d’études, vos professionnels vous recommandent de changer régulièrement de posture. Une chaise de bureau bien ajustée par rapport au bureau et à l’écran est un bon départ. Mais même assis selon les meilleurs standards, votre corps se lassera d’être dans la même position. Quelques solutions ergonomiques Alternez avec une posture debout dès que vous le pouvez; Utilisez un ballon suisse pour vous asseoir pendant 10 minutes pour stimuler vos muscles dorsaux; Installez-vous sur un sofa, le dos appuyé bien droit sur des coussins avec un support sur vos genoux; Lisez à plat ventre sur votre lit pour une période de 10 minutes. Bien se nourrir et s’hydrater Lorsque le temps nous manque et encore plus lorsqu’on est stressé, on est porté à se gaver de repas prêts-à-manger, de café et de boissons sucrées. Pourtant les aliments riches en gras et en sucres raffinés provoqueront des baisses d’énergie. Grignotez plutôt des fruits, légumes, noix et graines en étudiant ou prenez des pauses pour cuisiner un petit plat santé. Aussi, hydratez-vous adéquatement. Nourrissez vos neurones de bon carburant pour soutenir votre acuité mentale ! Dormir Le sommeil est un autre essentiel. Il est recommandé de dormir 7 à 8 h par nuit. Une bonne hygiène de sommeil améliore l’humeur, la concentration ainsi que la capacité d’apprentissage. Le genre d’atouts qu’on recherche en fin de session ! Pour un sommeil de meilleure qualité, évitez de regarder un écran 30 minutes avant de vous coucher et évitez également de manger 2 heures avant. Gérer son stress Le stress nous prive de nos pleines capacités d’attention, de jugement, d’analyse et de mémorisation. Trouvez le meilleur moyen pour le réduire. Par exemple, en s’organisant pour se sentir bien préparé à un examen, en prenant des pauses d’études régulièrement pour faire quelque chose qui nous fait du bien (bouger, écouter de la musique, méditer ou appeler un ami). Et si ça ne va pas ? Une proportion importante d’étudiants souffrent de maux de cou et de maux de tête. En effet, la posture d’étude est particulièrement éprouvante pour le cou. La tête étant souvent portée vers l’avant, les muscles, disques et nerfs de la région cervicale peuvent engendrer de la douleur dans le cou et les épaules ainsi que des engourdissements aux mains. La céphalée de tension La céphalée de tension est un type de mal de tête aussi fréquent chez les étudiants. Celle-ci se présente comme une douleur sourde et continue à la tête décrite comme une sensation de pression au front, aux tempes et/ou derrière la tête. Causes des céphalées de tension Un manque de sommeil; Une déshydratation; Un repas sauté; Le stress; Une charge de travail excessive; Le serrement de mâchoire; La fatigue musculaire au niveau de la tête ou du cou. Une douleur passagère peut être gérée en contrôlant les causes identifiées, soit avec le repos et la relaxation, une meilleure hydratation, une douche chaude ou un sac chaud au niveau du cou. Par contre, si une douleur persiste au-delà de quelques jours ou réapparaît régulièrement, n’hésitez pas à consulter vos professionnels de la santé chez Clinique Hévéa. Ils peuvent vous aider en unissant leurs compétences à traverser votre fin de session avec un maximum de confort ! Bon succès à tous nos étudiants ! Pour prendre rendez-vous.Nos thérapies complémentaires pour soulager les effets secondaires des traitements contre le cancer
Les thérapies complémentaires et parallèles ne traitent pas le cancer à proprement parler. Elles visent plutôt l’amélioration de votre bien-être en général et de votre santé en vous aidant à vous adapter physiquement et émotivement aux traitements classiques du cancer. Leurs bienfaits sont d’ailleurs aujourd’hui reconnus par la communauté médicale. Bon nombre de ces thérapies peuvent aider à soulager certains effets secondaires liés aux traitements contre le cancer, comme les nausées ou la fatigue. Qui plus est, elles sont employées sans danger concomitamment aux traitements classiques contre le cancer. Elles peuvent vous aider à faire face au stress, à l’anxiété et aux autres défis que vous pourriez avoir à affronter au cours de votre chemin. L’acupuncture pour vous accompagner L’utilisation de l’acupuncture pour soulager les nausées provoquées par la chimiothérapie est un exemple de thérapie complémentaire. Diverses études menées au cours des dernières années, notamment par le National Cancer Institute (NCI), démontrent scientifiquement l’efficacité des traitements d’acupuncture en oncologie, pour : · Réduire les nausées et les vomissements liés à la chimiothérapie, particulièrement dans le cas du cancer du sein · Réduire le stress, l’anxiété, les symptômes dépressifs et la fatigue · Améliorer le sommeil · Diminuer les douleurs et dysfonctions post-chirurgicales, dont les cicatrices et adhérences · Traiter la sécheresse de la bouche induite par la radiothérapie · Atténuer les effets secondaires des traitements anti-hormonaux pour le cancer du sein · Diminuer les bouffées de chaleur pour les cancers du sein et de la prostate · Soulager les neuropathies périphériques · Améliorer le système immunitaire · Augmenter la vitalité durant les traitements de chimiothérapie et radiothérapie · Diminuer les lymphœdèmes L’ostéopathie en cas de mastectomie En effet, avoir recours à des traitements d’ostéopathie peut aussi être bénéfique, entre autres pour les patients qui ont subi des mastectomies. En effet, l’ostéopathe visera à diminuer les douleurs associées aux tensions musculaires tout en redonnant une amplitude articulaire. Le traitement visera également à favoriser le sommeil et à diminuer le niveau de stress. Pendant les traitements de chimiothérapie ou de radiothérapie, l’ostéopathe concentrera son traitement sur les douleurs persistantes, dont les neuropathies périphériques. En post-chirurgie, l’objectif sera de traiter, s’il y a lieu, les adhérences des cicatrices, pouvant provoquer des douleurs neuropathiques et nuire au glissement des fascias et ainsi interférer dans la fonction des muscles, des articulations et des nerfs. Prendre soin de votre santé mentale, un atout important Recevoir une nouvelle comme celle d’un diagnostic de cancer peut grandement affecter votre équilibre mental. Cela est normal. Une telle nouvelle peut demander beaucoup de réorganisation, tant au niveau de la famille que du travail, entre autres. Consulter un professionnel en santé mentale permet de poser nos questions à une personne de confiance en terrain neutre. Ce professionnel pourra aussi vous accompagner dans ces grands changements de vie, alors que vous aurez à vous adapter dans un très court laps de temps à une nouvelle réalité. La massothérapie La massothérapie peut être employée pour soulager les muscles endoloris ainsi que la raideur musculaire. On y a aussi recours pour réduire la douleur (comme les maux de tête et la douleur au bas du dos), l’anxiété et le stress. Elle favorise une circulation tout en améliorant la relaxation. Selon la Société canadienne du cancer, des études ont démontré que la massothérapie favorise à atténuer le stress, l’anxiété, la douleur, la fatigue et la dépression. Elle peut aussi aider à réduire l’insomnie en améliorant la qualité du sommeil. Services offerts chez Clinique Hévéa pour vous accompagner en cas d'effets secondaires de vos traitements classiques contre le cancer Acupuncture Ostéopathie Psychothérapie et Travail social MassothérapieLa thérapie au laser : une solution alternative et complémentaire à votre guérison !
La thérapie au laser permet de traiter efficacement certaines conditions musculo-squelettiques pour lesquelles d’autres thérapies manuelles n’ont pas eu l’effet escompté. Elle peut aussi être utilisée en complément à d’autres thérapies lors de conditions aiguës ou chroniques. Qu’est-ce que cette thérapie ? La thérapie au laser est un traitement médical qui utilise une lumière focalisée pour stimuler un processus appelé photobiomodulation. Au cours de ce processus, les photons pénètrent dans les tissus et interagissent avec le cytochrome c dans les mitochondries. Cette interaction déclenche une cascade biologique qui entraîne une augmentation du métabolisme cellulaire, ce qui peut diminuer la douleur et accélérer le processus de guérison.Clinique Hévéa possède le laser froid de grade IV de marque LiteCure. Il s’agit d’un outil thérapeutique sécuritaire et efficace approuvé par Santé Canada. Voilà une solution non invasive, non chirurgicale et non douloureuse. Comment ça fonctionne ? La thérapie par photobiomodulation est définie comme une forme de luminothérapie qui utilise des sources lumineuses non ionisantes. Il s’agit d’un processus sans chaleur qui aboutit à des résultats thérapeutiques bénéfiques. Elle permet de : Soulager la douleur Favoriser l’immunomodulation Favoriser la cicatrisation des plaies Régénerer des tissus Diminuer l’inflammation Augmenter la microcirculation sanguine En favorisant la régénérescence cellulaire, la thérapie au laser permet d’accélérer efficacement le processus de guérison de la blessure en quelques séances. Quelles sont les conditions pouvant être traitées ? De nombreuses conditions aiguës ou chroniques peuvent être traitées telles que : Douleur au dos Douleur au cou Douleur sciatique Tendinite, bursite, épicondylite Entorse Fasciite plantaire Douleurs arthritiques Blessure discale Blessures sportives Blessures musculaires Syndrome du tunnel carpien Problème de mâchoire La thérapie au laser vous intéresse ? Une évaluation auprès d’un professionnel de la santé qualifié à la Clinique Hévéa pourra vous indiquer si cette thérapie peut vous convenir.
L'impact du changement de saison sur notre humeur
Plusieurs d’entre nous peuvent trouver la période de l’automne difficile… Que nous soyons confrontés à une dépression saisonnière, à une maladie ou à une baisse d’énergie, il est tout à fait normal de vivre des périodes de hauts et de bas. En fait, nous sommes soumis aux mêmes lois que la nature, c’est-à-dire que notre vie est parsemée de cycles. Une chose est certaine, ces cycles font partie de la vie et sont inévitables. Par contre, il y a une façon de faciliter cette transition. Quelques idées pour faciliter les transitions saisonnières Ne pas y résister ! La souffrance vient davantage de la non-acceptation d’une situation que de la situation elle-même. Faites de votre mieux pour vous laisser porter par cette vague, même si elle est inconfortable. Ne pas s’identifier à la situation que vous vivez. Encore une fois, il est tout à fait normal de vivre des hauts et des bas, des réussites et des échecs, des périodes où on a plus d’énergie et d’autres où on est plus fatigués. Heureusement, tout change ! Tentez de voir cette période comme une expérience que vous faites au lieu de vous définir comme celle-ci. Par exemple, de vous identifier comme quelqu’un de dépressif, d’anxieux ou de colérique ne vous aidera probablement pas à sortir de cet état… Tentez simplement d’accueillir l’émotion que vous vivez actuellement en vous rappelant qu’il s’agit d’une expérience temporaire de tristesse, d’anxiété ou de colère… Cela aussi changera ! Offrez-vous du temps de repos et de régénération. Souvent, quand nous avons une baisse de motivation et d’énergie, c’est simplement un signal de notre corps qui nous indique qu’il a besoin de repos. Au lieu de lutter contre ce besoin légitime, permettez-vous de ralentir le rythme, de vous offrir des moments de ressourcement comme aller dans la nature ou vous offrir un massage. Dans tous les cas, prenez soin de vous avec amour et bienveillance au lieu de vous critiquer et de vous culpabiliser de ne pas être aussi productif que d’habitude. Si vous en ressentez le besoin, sachez que plusieurs services offerts à la clinique peuvent vous aider à traverser cette période avec plus de douceur et de légèreté, que ce soit grâce à la massothérapie, à l’acupuncture ou à du soutien psychologique. Pour pour prendre rendez-vous en ligne, c'est par ici.Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Annick Germain, travailleuse sociale
Annick, quel chemin t’a amenée à vouloir étudier en travail social ? Je travaillais comme technicienne en éducation spécialisée à accompagner des étudiants autistes dans le milieu scolaire et j’ai eu une opportunité d’emploi pour remplacer un collègue, technicien en travail social. Je suis tombée sous le charme de cette discipline qui a à cœur l’accompagnement de la personne selon ses besoins, tout en tenant compte de son environnement social et de l’impact de ce milieu sur la personne. J’ai alors compris que je ne pouvais travailler à aider une personne à mieux s’intégrer dans son milieu, sans tenir compte de tous les aspects de l’environnement qui ont ou qui peuvent avoir un impact sur la personne. Par exemple : une situation de handicap telle la douleur chronique, l’exclusion sociale, l’identité de genre, la perte d’emploi, les conflits familiaux, les troubles de santé mentale, le logement, l’éducation. J’ai donc dirigé mes études universitaires vers le travail social. Par la suite, j’ai poursuivi mes études en santé mentale et plus récemment en gestion de la douleur chronique. Le travail social c’est cela, une discipline qui promeut le changement et le développement social en favorisant un pouvoir d’agir pour les personnes. Il encourage les personnes à relever des défis de la vie quotidienne afin d’améliorer leur qualité de vie et leur bien-être dans leur milieu. Quel livre t’a marquée au point d’être un point décisif dans ta vie ? Je lis beaucoup, surtout des livres de croissance personnelle ou d’intervention. J’aime également à lire des romans québécois et m’inspirer de ma culture. L’an dernier, j’ai lu un livre qui a changé ma vie, Le Pace du bonheur de Nathalie Bisson et Mylène Moisan. C’est un récit autobiographique où la narratrice, Nathalie Bisson, nous partage son vécu avec une maladie dégénérative, la polyarthrite rhumatoïde. Elle met l’accent sur la qualité de vie qu’elle a retrouvée depuis qu’elle respecte son rythme personnel, son pace du bonheur. Cette lecture m’a motivée à trouver mon rythme et m’a mené à poursuivre ma pratique du travail social en pratique privée à la Clinique Hévéa, afin de respecter mes besoins et permettre une meilleure conciliation travail – choix de vie. Qu’est-ce qu’on ignore de toi et qui pourrait nous surprendre ? Depuis toute jeune, je me passionne pour les langues anciennes. J’ai longtemps voulu devenir professeure de latin ou de grec ancien. Ce qui me passionne de cette étude est l’aspect étymologique, c’est-à-dire de trouver les racines, l’origine et le sens des mots. Il y a un aspect social dans l’étude des langues, puisque celles-ci s’inscrivent dans un contexte socioculturel précis. Il en va de même avec l’accompagnement des personnes en travail social, je m’intéresse à ce qui donne un sens à leur vie et je cherche à comprendre l’origine de leur problématique ou situation dysfonctionnelle au sein de leur réalité psychosociale. Quelle activité te permet de te ressourcer, d’oublier tes soucis et de repartir vers l’avant ? Sans hésitation, la marche en forêt ! Elle se pratique seule ou avec des ami.es., beau temps ou mauvais temps, en toute saison et avec très peu d’équipement. De plus, l’hiver j’y marche en raquettes. La marche me permet de me donner le temps, d’y aller à mon rythme et de m’oxygéner au contact des arbres et de la végétation, c’est le principe du Shinrin Yoku. De plus, au printemps et en été, j’apporte pochette et ciseaux et je cueille différentes plantes indigènes qui sont des trésors cachés des forêts québécoises. J’aime les promenades tôt le matin, afin de prendre le pouls de mon baromètre intérieur. J’y fais également de la méditation pleine conscience, en étant présente à moi, à mes émotions et mes pensées. Cette prise de conscience me permet de m’ancrer dans le moment présent et avec le sourire ! Dans un futur proche ou éloigné, y a-t-il un objectif que tu aimerais atteindre ? Développer davantage ma pratique du travail social et offrir des formations ou conférences sur des sujets que j’affectionne particulièrement dont la gestion des douleurs chroniques, mieux vivre avec l’anxiété et l’inclusion des personnes en situation de handicap. Cette passion de l’enseignement est bien présente et fait partie de moi jusque dans ma pratique professionnelle ! Prendre rendez-vous avec Annick Germain, travailleuse socialeC'est la journée mondiale de l'acupuncture
Le 24 octobre, c’est la journée mondiale de l’acupuncture (Acupuncture & Herbal Medicine Day). Profitons de ce moment pour mettre en lumière la reconnaissance de cette médecine millénaire. L'acupuncture en gros L’acupuncture est une des composantes de la médecine chinoise qui comprend également la diététique, la pharmacopée (herbes), les exercices (Qi Gong) et le massage (Tuina). L’acupuncture consiste à stimuler certains endroits du corps (points d’acupuncture), et ce dans le but d’améliorer la santé au moyen notamment d’aiguilles, de chaleur, de pression, de courant électrique ou de lumière (laser). L’acupuncture, en tant que médecine globale, considère tous les aspects de la vie de l’individu, dont les émotions, les habitudes alimentaires, l’activité physique, le travail et l’hygiène de vie. La médecine chinoise considère que l’être humain est formé d’énergies « Yin » que nous pouvons considérer comme étant les tissus, les organes et le sang, entre autres, et d’énergies « Yang » qui sont représentées par la vitalité, le mouvement et toute l’activité relative aux organes. Les énergies de chacun des organes se reflètent et circulent sur tout le corps en suivant des trajets appelés méridiens. C’est sur ces derniers que I'on retrouve l’ensemble des points d’acupuncture. Grâce aux trajets des méridiens, les organes entretiennent entre eux des rapports étroits. Ainsi, dès qu’un organe est influencé par l’alimentation, les émotions, le surmenage, le stress, les conditions climatiques, le vieillissement, un traumatisme, etc., l’équilibre s’en ressent et les autres organes vont manifester eux aussi des signes de dysfonctionnement. Ce processus conduit à des déséquilibres énergétiques plus ou moins graves selon le cas. L’acupuncture au Québec Au Québec, la profession d’acupuncture est réglementée par l’Ordre des acupuncteurs du Québec depuis 1995, après avoir été pendant plus de 10 ans régie, non sans opposition, par le Collège des médecins. Une profession réglementée, c’est l’assurance de la surveillance de l’exercice par une instance gouvernementale, comme la profession médicale qui l’est par le Collège des médecins ou toute autre profession qui est régie par un ordre professionnel (psychologue, physiothérapeute, chiropraticien, etc.) Par conséquent, au Québec, seuls les acupuncteurs membres de l’Ordre des acupuncteurs du Québec détiennent le privilège de pratiquer l’acupuncture. La reconnaissance de l’acupuncture dans le monde L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié en 2002 un rapport qui reconnaît que l’acupuncture est efficace pour traiter plus de 120 affections. Au Canada, l’acupuncture est réglementée et reconnue comme soin de santé dans cinq provinces, notamment en Colombie-Britannique, où le régime public en assume partiellement les frais. Au Québec, la CNSST et la SAAQ intègrent également les traitements d’acupuncture à leurs régimes. Clientèle pouvant bénéficier de l’acupuncture L’acupuncture s’adresse aux femmes, aux hommes et aux enfants de tous âges. Des conditions inflammatoires, la douleur (blessure sportive ou autre), la fertilité, la grossesse (nausée, fatigue ou autre), la périménopause, la fatigue et l’anxiété, entre autres, peuvent bénéficier de traitements d’acupuncture. Aussi, dès la naissance, le bébé peut avoir recours à l’acupuncture. Lisez notre blogue à ce sujet. Pour en apprendre davantage sur les conditions pouvant être traitées et les bienfaits de l'acupuncture, suivez ces liens de l'Association des acupuncteurs du Québec. Troubles traités par acupuncture Bienfaits et mécanismes de l'acupuncture Pour prendre rendez-vous avec l'une de nos trois acupuncteures chez Clinique Hévéa, suivez ce lien.Et si on changeait notre regard sur la ménopause ?
En cette journée mondiale de la ménopause et pour toutes celles qui auront à vivre - ou vivent déjà - cet état, nous vous offrons un nouveau regard. La ménopause, une fatalité au mi-temps de la vie des femmes La ménopause est-elle vraiment une menace au bien-être de la vie des femmes ? Cette idée que nous subirons les effets négatifs de la baisse, puis de l’absence des hormones, nous est suggérée depuis que nous sommes toutes petites. Bouffées de chaleur et transpiration gênante nous attendent de pied ferme en échange de l’absence de menstruations. Étonnamment, tout à l’opposé de ce scénario, la médecine chinoise qualifie la ménopause de « deuxième printemps ». Cela peut paraître contradictoire, mais il y a là une conception intéressante de ce passage de la vie. Du point de vue de la médecine chinoise La ménopause est définie par l’arrêt complet des menstruations pendant 1 an. Cet arrêt survient après 6 à 8 ans de périménopause, période où les menstruations sont irrégulières et où l’on observe une diminution du flux menstruel. La médecine chinoise explique cette période de transformation : l’énergie est de moins en moins dirigée vers la procréation et sera orientée vers le Cœur, siège de la pensée et des émotions, nourrissant notre sagesse intérieure. C’est ce qu’on appelle le « deuxième printemps ». Que se passe-t-il vraiment ? Si l’âge moyen de la ménopause est de 51 ans, la majorité des femmes vivra déjà des changements physiques et psychologiques dès le début de la quarantaine. Œstrogène et progestérone comptent plus de 300 fonctions dans le corps de la femme. Leurs variations entrainent plusieurs changements et les symptômes de la périménopause sont multiples et propres à chacune : cycles menstruels raccourcis ou allongés, flux menstruel plus léger ou avec caillots, bouffées de chaleur, sueurs nocturnes, insomnie, sautes d’humeur, hypersensibilité, difficulté de concentration, sécheresse vaginale, peau sèche, yeux secs, infections urinaires récurrentes, etc. Les facteurs Plusieurs facteurs influencent les caractéristiques de la périménopause et de la ménopause. La génétique joue un rôle autant sur l’âge à laquelle apparaît la ménopause que sur la prédisposition à certains symptômes, notamment les bouffées de chaleur. L’alimentation peut aussi avoir un impact sur l’âge d’apparition de la ménopause : elle arrivera plus tard chez celles qui consomment de bonnes quantités de poisson, légumes frais, vitamine B6 et zinc et à l’inverse, s’annoncera plus tôt si l’on consomme pâtes et riz industrialisés. Certains aliments, tels le café, l’alcool, le sucre, les viandes rouges et certaines épices vont favoriser les bouffées de chaleur. L’exercice serait un atout pour diminuer les symptômes par son impact sur le fonctionnement des glandes surrénales et la sécrétion d’endorphines. Des recherches actuelles se penchent sur les effets négatifs de la baisse d’œstrogènes qui pourraient être prévenus par une réduction de la consommation des glucides et lipides, conjuguée à une augmentation de protéines et la pratique régulière d’exercice (encore lui, oui). Comment l’acupuncture peut vous aider ? L’acupuncture s’inscrit dans une approche globale. Conjuguée aux bonnes habitudes de vie, elle peut vous aider à vivre ces années plus sereinement. La médecine chinoise explique les symptômes de la ménopause par le déclin du Yin, dont le rôle est de nourrir et rafraîchir, en équilibre avec le Yang, qui lui réchauffe et dynamise. Le Yin diminue et n’arrive plus à contenir le Yang trop abondant, d’où bouffées de chaleur, insomnie, irritabilité, infections urinaires, peau sèche, etc. Il se peut aussi que le Yang faiblisse et que certaines femmes expérimentent plutôt de la fatigue, de la rétention, un gain de poids, de l’incontinence. Parfois, c’est aussi tout cela en même temps. L’acupuncteur.e fait un portrait précis de votre état et adapte le traitement en fonction de chacune. Des séances d’acupuncture plus rapprochées au début et un suivi occasionnel ensuite sont souvent le plan adopté. Se basant sur les principes de la diététique chinoise, l’acupuncteur.e pourra aussi vous conseiller d’éviter les aliments de nature Yang, faciles à retenir grâce à l’acronyme S.A.G.E désignant le Sucré, l’Alcool, le Gras et l’Épicé. Une solution globale L’objectif du traitement en acupuncture est d’établir un nouvel équilibre Yin Yang, d’apaiser cette tempête de symptômes physiques et psychologiques et de vous permettre de vivre cette période plus harmonieusement. Ralentir et prendre du temps pour soi, que ce soit en prenant des rendez-vous réguliers ou en intégrant une activité qui nous fait du bien, fait partie des autosoins qui permettront au « deuxième printemps » de naître en vous. Pour prendre rendez-vous avec l'une de nos trois acupuncteures chez Clinique Hévéa, suivez ce lien.Lumière sur la colonne vertébrale, le chouchou de votre chiro!
En cette journée mondiale de la colonne vertébrale, vos chiropraticiennes de Clinique Hévéa souhaitent vous partager quelques faits sur cette structure complexe et mal connue qui occupe l’essentiel de leurs journées ! La colonne vertébrale est une structure fondamentale La colonne vertébrale est une structure de 24 segments osseux et mobiles qui s’érigent et forment notre dos, telle une tour à l’architecture unique. Ses segments mobiles permettent au corps humain d’exécuter une complexité de mouvement. De plus, votre colonne héberge et protège votre moelle épinière, une autoroute d’information par laquelle les messages nerveux sont transmis vers et à partir de votre tour de contrôle, votre cerveau. Une variété de conditions peuvent impacter la colonne vertébrale, dont des anomalies congénitales, des tumeurs, une scoliose, de l’arthrose, de l’ostéoporose, des hernies discales et des entorses. Contrairement à certaines pièces du corps humain, tels une dent, un genou ou une hanche, qui peuvent être remplacés, on ne peut pas compter sur une chirurgie pour remplacer notre colonne abîmée. On n'en a qu’une, à vie ! La colonne et le système nerveux : intimement reliés Le système nerveux est le chef d’orchestre qui coordonne toutes les activités du corps. Il influence toutes les cellules, tissus, organes et systèmes du corps. Toute perturbation du système nerveux affecte directement le fonctionnement du corps et votre santé. Le rôle de la chiropratique La chiropratique est la profession de la santé qui s’intéresse à l’intégrité du système neuro-musculo-squelettique dont la colonne vertébrale est l’élément central. Les chiropraticiens détiennent un doctorat universitaire en chiropratique. Ils possèdent des connaissances approfondies sur l’anatomie, la physiologie et la biomécanique humaines. Ils maîtrisent l’examen physique et la radiologie et sont en mesure de diagnostiquer les différentes atteintes du système neuro-musculo-squelettique, dont ceux de la colonne vertébrale. Pour en savoir plus sur le champ d’exercices des chiropraticiens, suivez ce lien. La subluxation vertébrale Lorsque la mécanique vertébrale est perturbée, on est en présence d’une dysfonction vertébrale ou d'une subluxation. Celle-ci passe souvent inaperçue, un peu comme la carie dentaire. Lorsque l’atteinte devient plus sévère, elle entraîne une douleur au dos (la sensation est souvent décrite comme un coincement) qui attirera l’attention tel un signal d’alarme. C’est à ce stade que beaucoup de patients découvrent la chiropratique ! Le chiropraticien effectue des ajustements de la colonne vertébrale de façon précise pour corriger les segments dont la mécanique est altérée, pour offrir un soulagement rapide de la douleur. La chiropratique, beaucoup plus que pour les dos barrés ! Bien sûr, la chiropratique est reconnue pour être efficace lorsque vous vous retrouvez dans cette fâcheuse situation d’un dos barré ! Mais saviez-vous qu’elle peut vous aider avec une multitude d’autres conditions ? Voici un lien vers quelques études sur les bienfaits des soins chiropratiques. Puisque chaque colonne compte Vos chiropraticiennes vous encouragent à profiter du plein potentiel de la chiropratique. Pourquoi attendre que votre corps manifeste des malaises avant de consulter ? Comme vos dents, votre colonne peut profiter de soins préventifs. Une visite de maintien pour vous assurer du bon état de votre colonne est un gage de bonne santé. En effet, sachant que toute l’information du système nerveux passe par la colonne vertébrale, on saisit qu’en prenant soin de sa colonne vertébrale, on prévient et limite des incapacités physiques et on favorise le fonctionnement optimal de notre système nerveux. Consultez cette vidéo de l'Association chiropratique canadienne pour en apprendre davantage sur les avantages de prendre soin de votre colonne. N’hésitez pas à consulter pour prendre soin de votre colonne vertébrale. Pour prendre rendez-vous avec vos chiropraticiennes.Faire de la santé mentale pour tous une priorité
Quand on pense au mot «santé», le premier réflexe est de songer à sa santé physique, souvent au détriment de sa santé mentale. Pourtant, celle-ci fait partie intégrante de la santé globale de l’individu et doit être considérée lorsque l’on fait son bilan de santé. L’expression «Un esprit sain pour un corps sain» ne vient pas de nulle part ! Le 10 octobre, pour la trentième année consécutive, la Journée mondiale de la santé mentale vise à mettre de l’avant les divers enjeux liés à la santé mentale. «Faire de la santé mentale pour tous une priorité mondiale», le thème de 2022, est tout à fait d’actualité : la pandémie a dramatiquement mis en évidence le manque de ressources en santé mentale, ici et ailleurs. Des facteurs de risques Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), une personne sur 8 vivait déjà avec un trouble mental avant la pandémie. Si la pandémie a malmené la population, l’inflation actuelle et les enjeux environnementaux ne donnent pas beaucoup de répit et peuvent s’avérer anxiogènes. Plusieurs facteurs de risques ont contribué à fragiliser les individus, notamment la précarité de l’emploi, les finances personnelles, les consignes sanitaires pas toujours faciles à suivre, les enjeux liés au télétravail et les relations tendues (dans les familles, avec les employeurs et les collègues). Le stress et l'anxiété peuvent se manifester de façons différentes selon les individus et peuvent affecter autant la santé physique (maux de tête, problèmes digestifs, sommeil, appétit) que psychologique (inquiétude, sentiment d’impuissance, négativité, découragement, tristesse, etc.). Il est important d’apprendre à prendre soin de soi, de se permettre d’exprimer des sentiments et émotions. Adopter de saines habitudes de vie comme bouger, bien s’alimenter et dormir suffisamment peuvent avoir un impact salutaire, tout comme le fait de se permettre de dire non et de poser ses limites. S’il est généralement possible de maîtriser le stress et l’anxiété, il arrive que plusieurs signes et malaises s’accumulent et qu’on n’arrive plus à gérer nos inquiétudes par nous-mêmes. Il est probablement temps de trouver de l’aide. Quoique plusieurs tabous autour de la santé mentale soient tombés avec les années, l’idée de consulter n’est pas toujours bien vue ou encouragée. La stigmatisation et la discrimination peuvent mener les individus à ne pas consulter et à se replier sur eux-mêmes. Le corps et l’esprit Comme nous considérons autant le corps que l’esprit, l’équipe de Clinique Hévéa a réuni des professionnels de santé mentale et physique dans une équipe collaborative. Notre dynamique duo de professionnels de la santé mentale est composé de Chantal Messier (psychothérapeute) et d'Annick Germain (travailleuse sociale). Si le métier de psychothérapeute est mieux connu, la pratique de travail social au privé est plus récente et moins connue. Les travailleurs sociaux sont formés pour traiter le stress, l’anxiété, la dépression, l’épuisement professionnel, la conciliation études-travail-famille, le deuil et plusieurs troubles de santé mentale. L’objectif d’un suivi en travail social est d’identifier ce qui entrave le fonctionnement optimal de la personne dans son environnement, autant personnel que social, afin de mettre en place des moyens concrets pour retrouver l’équilibre. Les rencontres en travail social peuvent se faire en présence à la clinique ou en visioconférence et sont en tout temps protégées par la confidentialité. Annick Germain est membre en règle de l’Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec. Pour en savoir plus sur Chantal Messier, psychothérapeute, et son approche Pour en savoir plus sur Annick Germain, travailleuse sociale, et son approcheC'est la Semaine de l'allaitement maternel (SMAM)
Du 1er au 7 octobre a lieu la Semaine mondiale de l’allaitement maternel (SMAM). Cette semaine mondiale, lancée en 1992, vise à soutenir et informer la population sur des thèmes liés à l’allaitement maternel. Clinique Hévéa, avec ses professionnels habitués de recevoir une clientèle qui allaite, ne fait pas exception. Voyez comment nos professionnels peuvent les soutenir et accompagner ces femmes. Acupuncture et allaitement L’acupuncture s’est intéressée à plusieurs conditions et maux qui peuvent survenir lors de l’allaitement. Ces maux s’expliquent souvent par un déséquilibre énergétique, suite à la grossesse et l’accouchement, que l’acupuncture peut corriger à travers d’un ou plusieurs traitements. L’agalactie (absence ou retard de la montée laiteuse) et l’hypogalactie (faible quantité de lait), qui sont des troubles de lactation, peuvent entraîner des conséquences sur un allaitement, alors que bébé n’aura pas la capacité de se nourrir adéquatement. L’acupuncteur pourra administrer un traitement qui vise à augmenter la production lactée et ainsi permettre à bébé d’avoir la quantité de lait souhaité (à condition qu’il arrive, bien sûr, à téter efficacement). Il arrive aussi que les seins, en début d’allaitement, produisent beaucoup trop de lait. En conséquence, une congestion et des crevasses peuvent s’installer et provoquer une mastite. En favorisant l’écoulement et le drainage, l’acupuncture peut aider à la résorption d’un sein engorgé. L’acupuncture peut aussi être pratiquée afin d’accélérer un sevrage. Idéalement, pour la mère et le bébé, le sevrage se fait sur plusieurs semaines. Mais il peut arriver qu’une mère ait à cesser drastiquement son allaitement, par exemple dans le cas de l’administration d’un traitement pharmacologique urgent qui n’est pas compatible avec l’allaitement ou suite à un accident. Pour consulter nos acupuncteures. L’allaitement et la chiropratique La chiropratique est une alliée de choix pour aider à l’allaitement. Les traitements permettent de diminuer les tensions au dos de la nouvelle mère parfois causées par les longues périodes d’allaitement. Une meilleure santé physique de la mère permet aussi un meilleur positionnement du bébé facilitant ainsi la prise au sein.Quant au bébé, la chiropratique aide au relâchement des tensions pouvant être présentes suivant la naissance au niveau du dos, du cou et même de la mâchoire du nouveau-né. Les soins favorisent un bon positionnement du bébé lors de l’allaitement et facilitent la prise au sein.
À noter qu’une mère non allaitante peut également bénéficier des soins chiropratiques puisque certaines tensions peuvent tout de même se présenter lors du positionnement du bébé au biberon. Cela en va de même pour le nouveau-né. Pour consulter nos chiropraticiennes. L’allaitement, un grand changement Accueillir un nouveau-né est souvent perçu comme une source instantanée de bonheur. Toutefois, certaines mères et certains pères le vivent autrement en raison des changements que cette venue occasionne, tant au niveau de l’allaitement que du couple et de la fratrie. Si l’allaitement est universellement reconnu pour ses avantages, il est important de respecter ses choix et ses limites. Certaines femmes vivent la fin de leur allaitement, ou le choix de ne pas allaiter, comme un échec. Notre travailleuse sociale peut vous accompagner dans cette période de grands changements et d’adaptation. Pour consulter notre travailleuse sociale. Quelques ressources Santé publique du Canada — Dix bonnes raisons d’allaiter votre bébé Santé Montérégie et CLSC — Soutien à l’allaitement Fédération Nourri-Source — Soutien à l’allaitement Amitié matern’elle — Pour avoir une marraine d’allaitement (Roussillon) MAM Autour de la maternité — Soutien à l’allaitement/Marraine d’allaitement maternel
En septembre, on jase arthrose
C’est le mois de la sensibilisation de l’arthrite. Profitons-en pour démystifier cette condition courante et pour vous offrir quelques pistes de solution pour vous soulager. Qu’est-ce que l’arthrose/arthrite ? D’abord, le mot arthrite vient du latin arthro (articulation) et du suffixe ite (inflammation) et signifie donc inflammation de l’articulation. Lorsqu’on parle d’arthrite, on fait référence à une large famille d’affections articulaires assez variées, dont l’arthrite rhumatoïde, l’arthrite psoriasique, la spondylite ankylosante et bien sûr l’ostéoarthrite, communément appelée arthrose. L’arthrose est de loin l’affection la plus courante, touchant un Canadien sur 10. Il s’agit d’une dégénérescence du cartilage qui recouvre les extrémités osseuses formant les articulations. Imaginez le cartilage intact, telle une belle glace de patinoire bien lisse après le passage de la Zamboni. En comparaison, le cartilage touché par l’arthrose aura plutôt l’apparence de la surface glacée rayée de fissures après la première période d’un match de hockey ! L’arthrose peut toucher toutes les articulations du corps, mais plus souvent les mains, les genoux, les hanches et la colonne vertébrale. Les symptômes sont des raideurs matinales, de la douleur, une enflure avec une réduction de la mobilité ainsi que des crépitements dans l’articulation. Certains facteurs peuvent nous prédisposer à l’arthrose notamment l’âge, les facteurs génétiques, le surpoids, une blessure ou de la surutilisation des articulations. Prévenir et soulager l’arthrose On ne peut guérir l’arthrose, mais on peut la freiner et en gérer la douleur. Les professionnels de la Clinique Hévéa vous offrent leur expertise pour vous aider à gérer les désagréments qu’elle cause. Tel le pneu d’une roue mal alignée qui s’usera prématurément à cause de la friction qui s’exerce sur lui, les articulations qui subissent un stress anormal souffriront d’une dégénérescence prématurée. Un genou qui a subi un traumatisme pendant l’adolescence, une entorse cervicale subie dans un accident d’automobile ou une mauvaise posture à long terme peuvent entraîner des stress mécaniques qui prédisposent à l’arthrose. Justement, votre chiropraticien peut déceler ces dysfonctions biomécaniques et les corriger par des ajustements articulaires et ainsi limiter les stress articulaires excédentaires. Telle une penture de porte bien lubrifiée et bien utilisée, une articulation aura tendance à mieux fonctionner si elle est utilisée. C’est pourquoi l’activité physique contribue à garder les articulations mobiles et à développer la force des muscles qui les supportent. La physiothérapie peut vous offrir un programme d’entraînement personnalisé ainsi que des conseils spécifiques liés à vos activités sportives préférées pour éviter les blessures et les surcharges à vos articulations. Aussi, au moyen de mobilisations articulaires et de techniques musculaires, elle visera à augmenter la mobilité et la souplesse et ainsi améliorer les symptômes du patient. Pour savoir comment la physiothérapie peut vous aider, consulter ces fiches d’informations sur le site de la Word Physiotherapy. L’acupuncture, quant à elle, par son action locale, augmente la circulation sanguine au site de douleur ce qui permet aux tissus articulaires d’être mieux nourris et aux muscles de s’assouplir. Elle a un aussi un effet global de réduction de la douleur via son action sur le système nerveux central. La recherche sur le soulagement des symptômes de l’arthrose par l’acupuncture a démontré que celle-ci aide à réduire la douleur et augmente la mobilité, autant à court terme (13 semaines) qu’à long terme (plus de 12 mois). Consultez le site de la Société d’arthrite Canada pour en apprendre davantage sur les bienfaits de l’acupuncture en cas d’arthrite. Gérer l’effet de la douleur sur mon moral Nous sommes consicents que la douleur et les désagréments associés à ces conditions articulaires peuvent miner votre quotidien. Dans ce cas, notre travailleuse sociale peut vous offrir une écoute attentive en plus de vous suggérer des outils pour aborder plus sereinement la douleur aiguë ou chronique en lien avec votre condition physique. De plus, elle peut vous diriger vers des ressources ou des groupes de soutien ou vous mettre en contact avec d’autres individus qui vivent une situation semblable. Enfin, elle peut vous aider à gérer le stress ou l’anxiété et à mieux vivre avec les différentes émotions présentes, l’acceptation de la maladie ou le deuil d’une vie sans douleur. Vous expérimentez de la douleur en raison de l’arthrite ? Consultez un de nos professionnels pour vous aider à gérer les symptômes qui y sont associés.Faire rimer retour en classe avec bien-être et bonne humeur
Bien que la rentrée des classes demande une certaine préparation, la majorité des parents sont souvent heureux de renouer avec ce moment. En effet, avec la rentrée vient un retour à la routine. Toutefois, certaines inquiétudes chez parents et enfants peuvent surgir et déstabiliser une organisation familiale tellement nécessaire pour le calme de tous. Voici quelques conseils de membres de notre équipe. Prévoir les deux premières semaines Nancy Deschênes, acupuncteure, propose ces deux conseils pour baisser le niveau de stress familial chez les parents et les enfants en début d’année scolaire. Dans un premier temps, elle vous suggère d’inviter vos enfants à choisir ce qu’ils veulent dans leur lunch et à préparer eux-mêmes leur repas. Cela augmente leur sentiment de contrôle et c’est excellent pour leur estime. Pour les parents, elle vous propose de ne pas hésiter à avoir recours au service de traiteur de votre école. Cela décharge des tâches et laisse plus de temps pour accompagner l’enfant dans ce qu’il vit avec la rentrée. Qui plus est, cela permet à l’enfant de manger chaud, ce qui est souvent recommandé en médecine traditionnelle chinoise avec l’arrivée de la saison froide. Pour calmer le niveau d’anxiété Pour Annick Germain, travailleuse sociale, une rentrée des classes doit se faire avec le sourire. Et pour que cela se produise, il importe de bien organiser sa rentrée, ce qui implique d’avoir en main tout le matériel demandé et de planifier ses activités sportives, culturelles, amicales et de travail en conséquence. Pour concilier le tout, elle rappelle de se modérer et de se permettre des moments de pause à l’agenda. Son matériel et son horaire en main, il ne reste qu’à avoir du plaisir ! Plaisir à apprendre et à rencontrer de nouvelles personnes. Parce qu’aller à l’école, c’est aussi bon pour la santé globale et mentale. Et le physique, dans tout cela ? Parce que chez Clinique Hévéa on se préoccupe aussi de votre santé physique, Samantha Toporowicz, chiropraticienne, a quelques conseils pour protéger votre dos et celui de votre enfant : Le sac à dos devrait avoir des bretelles rembourrées et ajustables de 2 pouces de largeur ainsi que des sangles à la hauteur des hanches et du torse ; Le haut du sac ne devrait pas dépasser le haut des épaules et le fond du sac ne devrait pas être plus bas que les hanches ; Le poids devrait y être bien réparti grâce à différentes pochettes et les objets les plus lourds devraient être placés le plus près possible du dos ; Le poids du sac à dos rempli ne devrait pas dépasser 10 % du poids d’un enfant du primaire et 15 % du poids d’un enfant du secondaire. Pour davantage de précisions sur l’ajustement du sac à dos, consultez notre blogue complet sur le sujet. Nos professionnels chez Clinique Hévéa peuvent vous aider à rendre cette période plus agréable. Consultez la fiche de nos professionnels sur notre site web pour voir comment chacun d’eux peut vous accompagner. Bonne rentrée à tous !Apprivoiser l'anxiété
Le pourcentage de personnes anxieuses ayant atteint des sommets pendant la pandémie, nos deux professionnelles en santé mentale chez Clinique Hévéa souhaitent vous partager quelques informations sur cette condition. Est-ce normal, ou pas, d’avoir des épisodes anxieux ? Saviez-vous que tout le monde éprouve un jour ou l’autre de l’anxiété ? Elle permet de nous adapter à certaines situations qui pourraient être dangereuses ou inquiétantes. Chercher à l’éliminer complètement devient donc utopique. Elle disparaît graduellement dès que notre quotidien reprend son cours régulier. Voir les symptômes qui y sont associés. À quel moment l’anxiété devient-elle trop envahissante ? Un état anxieux qui perdure n’est pas souhaitable, surtout si cet état vous empêche d’accomplir vos tâches de la vie quotidienne ou de participer à des rencontres entre amis. L’anxiété devient donc un problème lorsque : elle ne disparaît pas quand la situation préoccupante revient à la normale ; elle occasionne un niveau de détresse important ; elle n’est liée à aucun événement de vie, c’est-à-dire qu’elle apparaît sans raison ; elle préoccupe continuellement la personne ; elle empêche la personne de fonctionner et d’agir normalement au travail, en société ou dans d’autres domaines de la vie quotidienne. Source : À propos des troubles anxieux Quand consulter ? N’attendez pas d’être complètement envahi par vos symptômes pour consulter. En effet, plus la personne consulte tôt, plus le rétablissement sera rapide. En consultant un professionnel en santé mentale, vous disposerez de nouveaux outils pour affronter ces situations anxieuses et vous pourrez identifier la source de cet état afin d’en éviter les manifestations. Surtout, n’hésitez pas à consulter si vous vivez de la détresse ou si vous avez de la difficulté à assurer vos responsabilités sociales, professionnelles ou familiales. Quelques idées ressources proposées par Chantal et Annick pour vous aider à calmer l’anxiété passagère Balado Tout pour être heureux, de la fondation Jasmin Roy. Proposés par Nicole Bordeleau, des dizaines de balados avec des réflexions, exercices de respiration et méditations sur des thèmes reliés à l’anxiété. Livres Bye Bye anxiété : 101 exercices pour mettre fin aux peurs, angoisses, phobies et autres paniques !, Tanya J. Peterson, Saint-Jean Éditeur. Je pense trop. Comment canaliser ce mental envahissant, Christel Petitcollin. Éditions de l’Homme. Par amour du stress, Sonia Lupien. Éditions au carré. Pour aller plus loin Vous souhaitez mieux comprendre ce qui se cache derrière vos symptômes d’anxiété et prévenir les épisodes anxieux qui persistent ? Nous vous invitons à consulter les fiches de nos deux professionnelles en santé mentale et à prendre rendez-vous. Annick Germain, travailleuse sociale Chantal Messier, ergothérapeute et stagiaire en psychothérapieNotre top 5 d’exercices de tonification à faire dans la piscine
La pratique d’une activité physique dans l’eau est excellente pour le corps, bien sûr, mais aussi pour la santé mentale. C’est bien connu : bouger permet au cerveau de libérer des endorphines qui améliorent l’humeur et qui ont un effet positif sur le niveau d’énergie et sur le sommeil. Tout cela mis ensemble contribue à améliorer la confiance en soi et la résilience, et même à réduire la douleur ! (Bouger pour être en bonne santé… mentale !, INSPQ, numéro 10, septembre 2015). Cinq exercices simples Pour renforcer les bras Prenez une frite dans chaque main le long du corps et fléchissez les jambes en fente (l’une vers l’avant, l’autre vers l’arrière). Enfoncez les mains dans l’eau, bras tendus. Gardez le dos bien droit et les abdos contactés. Remontez les coudes et enfoncez-les de nouveau à votre rythme. Les frites peuvent être poussées simultanément ou à tour de rôle. Pour augmenter la résistance de l’eau, placez les épaules sous la surface de l’eau. Pour muscler les abdominaux Prenez une frite que vous faites passer dans votre dos et dont vous ramenez les extrémités dans vos mains vers l’avant. Appuyez votre dos sur la frite et ramenez vos genoux vers votre poitrine, puis repoussez les pieds vers l’avant pour faire des mouvements de va-et-vient. Pour galber les fessiers À faire dans la partie peu profonde, talons collés — autant que possible — pliez les jambes comme une grenouille. Vos genoux seront alors écartés et tournés vers l’extérieur. Sautez aussi haut que possible puis revenez à la position initiale. Rires garantis ! Pour tonifier les jambes Le plus populaire des exercices de tonification dans l’eau est sans aucun doute le battement des jambes. Vous pouvez soit le pratiquer en vous tenant au bord de la piscine ou à l’aide d’un accessoire flottant (planche ou frite). Allongé sur le ventre, ou même sur le dos, effectuez de rapides battements de jambe. Puisque la résistance sera augmentée par l’eau, ils seront encore plus efficaces si vous gardez les jambes sous l’eau. Pour muscler les pectoraux Les jambes en fentes, ouvrez latéralement les bras puis refermez-les devant vous. Jouez avec la résistance de l’eau pour augmenter le niveau de difficulté. Combien de temps ? Visez 30 minutes par jour, donc 5 à 6 minutes par exercice. Vous pouvez faire des séries de 10, 15 ou 20 répétitions, puis prendre 10 secondes de pause et recommencer. Vous avez moins de temps que prévu ? Réduisez le temps. Mieux vaut en faire un peu moins que pas du tout. Et si vous expérimentez une douleur lors de ces exercices, consultez l'un des professionnels de notre équipe. Nous ferons le nécessaire pour vous permettre de poursuivre vos activités. Bon été à tous !La longue route des vacances : attention à votre posture
Qui dit «vacances» dit souvent «longues heures sur la route». On assume — à tort — qu’assis dans sa voiture ou sur une chaise, c’est pareil ! S’il est agréable d'avaler les kilomètres pour découvrir de nouveaux coins de pays, quelques conseils pratiques pourraient vous économiser bien des maux ! N’oubliez pas de vous hydrater durant le trajet ! Derrière le volant La personne qui conduit est loin d’être passive : elle doit garder un œil sur la route, sur les rétroviseurs, tenir le volant, coordonner ses jambes sur les différentes pédales, ajuster la ventilation, etc. C’est sans compter sur les passagers dont elle a la responsabilité qui peuvent la distraire, particulièrement si on a de jeunes enfants. Ajustements du siège Selon les spécialistes de la Clinique Hévéa, le conseil le plus important est au niveau de la posture : le dos doit être bien droit. Les voitures ont des commandes de position de plus en plus précises, ajustez-les correctement avant de prendre la route. Si l’on repose notre dos et nos épaules contre le dossier, on doit être capable de poser la paume des mains sur le volant sans courber les épaules et sans étirer les bras. Même chose pour les pédales, on doit éviter d’avoir la jambe en extension. Un bon indicateur : on devrait pouvoir placer le pied au plancher sous le frein, sans effort. Si vous touchez les pédales de la pointe des pieds, rapprochez-vous. Le volant Certains volants ont aussi des ajustements, la plupart sont inclinables et rétractables. Le haut du volant doit être vis-à-vis votre menton. On recommande souvent la position des mains en se référant aux aiguilles d’une horloge. Traditionnellement, la position 10h10 était enseignée, mais pour une conduite plus reposante et qui permet une meilleure réaction face aux imprévus sur la chaussée, la position 9h15 est maintenant plus fortement recommandée. Une fois bien installé, vous pouvez ajuster vos rétroviseurs. Pour les occupant•es du véhicule Les occupants aussi doivent ajuster leur siège pour un maximum de confort. Malheureusement, la banquette arrière est souvent moins ajustable. Pour les bébés et les enfants, il faut suivre à la lettre les instructions du fabricant à propos du siège ou du rehausseur. L’appuie-tête On néglige trop souvent l’ajustement de l’appuie-tête, dont le centre vertical doit être aligné à la hauteur de vos yeux. S’il est possible de le rapprocher, il est préférable de l’ajuster près de la tête. Un appuie-tête mal ajusté, c’est comme ne pas en avoir. En l'ajustant correctement, on diminue grandement les risques de douleurs cervicales. Coussins lombaires Il existe des centaines de produits pour améliorer le confort sur la route. Parmi eux, certains coussins lombaires peuvent aider à réduire la fatigue musculaire lorsqu’on effectue de longues distances. Il est suggéré de vérifier si ces produits sont recommandés par des associations professionnelles, ou par des associations de protection du consommateur. S’habiller de façon appropriée Nous recommandons de porter des vêtements amples et confortables, appropriés à la saison. Des vêtements trop ajustés pourraient gêner votre circulation sanguine. Une bonne idée est d’apporter une petite veste ou une couverture légère, car personne n’a le même niveau de confort face au vent ou à la climatisation ! Penchés sur nos appareils mobiles De plus en plus, les passagers (enfants, ados ou adultes) peuvent passer plusieurs heures à consulter un appareil mobile, une tablette ou une console de jeu pendant les longs trajets. Pour les passagers assis à l’arrière, il existe des supports qui permettent d’accrocher l’appareil à une meilleure hauteur derrière le siège opposé. Sinon, on peut aussi placer des coussins sur les genoux qui permettent de rehausser l’appareil et d’y reposer les mains. L’objectif est de garder la tête droite par rapport à l’appareil afin d'éviter les douleurs aux épaules, au cou et au dos. Et n’oubliez pas de regarder un peu dehors, vous risquez de manquer le paysage ! Faites des arrêts fréquents ! Pour vous dégourdir, rien n’est aussi efficace que de faire de courts arrêts périodiques. Dès que vous sentez un peu de fatigue, ou au moins chaque deux heures, faites un arrêt. Tout le monde dehors ! Quelques petits étirements devraient suffire à réduire les tensions accumulées au cou, au dos et aux jambes. Lorsqu’arrivé à destination, il est recommandé de ne pas exiger de notre corps un effort intense. En vacances, on a tendance à décharger le véhicule dès l’arrivée. Procédez à quelques échauffements avant de vous charger de valises, de sacs et de glacières ! Pour les longs trajets, c’est une bonne pratique que d’échanger le volant quand c’est possible. Pour gagner du temps, on a tendance à négliger les ajustements du poste de conduite. Ce petit 2 minutes est pourtant précieux et fera toute la différence ! En suivant tous ces conseils, vous mettez toutes les chances de votre côté pour ne pas vous blesser durant vos vacances ! Plusieurs professionnels de la Clinique Hévéa peuvent vous aider si des douleurs persistent après de longs trajets. Contactez-nous pour prendre rendez-vous !Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Audrey Fontaine, ostéopathe
Vous consultez Audrey chez Clinique Hévéa et vous la trouvez bien professionnelle. Au fil de vos consultations, vous avez peut-être envie d’en connaître un peu plus sur elle, mais vous gardez cette curiosité pour vous, puisque, bien sûr, vous voulez qu’elle se concentre sur votre condition. Aujourd’hui, nous vous proposons d’assouvir une partie de cette curiosité qui vous habite peut-être, alors que nous lui avons posé quelques questions amusantes. Bonne lecture ! Audrey, quel chemin t’a amenée à vouloir étudier en ostéopathie ? J’ai dû, suite à des blessures sportives, occasionnées entre autres par le handball, consulter une physiothérapeute qui s’est avérée être également ostéopathe. Étant étudiante à ce moment-là en technique de réadaptation physique, j’ai été interpellée par ce que l’ostéopathie pouvait apporter à mon bagage professionnel, dont la prise en charge globale du patient et la possibilité de l’amener vers un mieux-être, tout en l’écoutant. Je garde d’ailleurs toujours en tête cette phrase qu’un de mes enseignants nous avait partagée : Écoutez votre patient, il vous dira ce qu’il a ; écoutez-le un peu plus et il vous dira comment le soigner. Quel livre t’a marquée au point d’être un point décisif dans ta vie ? La lecture est assez récente dans ma vie. C’est lorsque j’ai été mise en contact avec des livres introspectifs que mon intérêt s’est développé. Je dirais que le livre WHY Café (John Strekecky), tout en étant romancé, m’amène à réfléchir sur ce que je souhaite profondément pour mon avenir. Mon WHY! Ce qui est important pour moi précisément, et pas pour les autres. On peut parfois avoir tendance à aller dans une direction pour plaire. Mais en se connectant sur nos valeurs propres, on peut s’apercevoir que notre réalité est tout autre. Qu’est-ce qu’on ignore de toi et qui pourrait nous surprendre ? Je marche sur les mains sur plusieurs mètres et je peux faire des flics ! Cette aptitude me vient de mes années en tumbling et en gymnastique. C’est une discipline que j’ai tellement adoré faire. Je me surprends moi-même d’être encore capable de faire ces mouvements. Quelle activité te permet de te ressourcer, d’oublier tes soucis et de repartir vers l’avant ? De façon générale, le sport me permet de me couper momentanément du stress et des émotions intenses. Comme on dit, je sors le méchant en me défoulant. Je découvre aussi la méditation qui est tellement efficace pour moi et qui fait émerger des solutions. Cela m’évite beaucoup de tergiversation. Dans un futur proche ou éloigné, y a-t-il un objectif que tu aimerais atteindre ? Un three Six en wake surf ! Je crois être sur mon X professionnellement parlant, alors je pense davantage à des accomplissements sportifs, challengeants et amusants ! Merci Audrey ! Notre rencontre avec Audrey a été fort inspirante. Au terme de ces questions, vous avez peut-être déjà saisi que cette jeune professionnelle a beaucoup à offrir, sans toutefois omettre de s’occuper d’elle-même d’abord. Vous avez envie d’en apprendre davantage sur son parcours en tant qu’ostéopathe ? Consultez sa fiche sur notre site web en cliquant ici.Quelques astuces pour jardiner sans s’occasionner de blessures
L’hiver et ses maux de dos occasionnés par le pelletage sont enfin derrière nous. Mais attention! Le jardinage comporte aussi son lot de désagréments et de blessures potentielles. Voyons comment rendre le jardinage sécuritaire et agréable pour le squelette. Tout d’abord, échauffez-vous ! Avant d’entreprendre une activité, s’échauffer demeure toujours une bonne idée, surtout si vous ne l’avez pas pratiquée depuis longtemps. En effet, les muscles et tendons qui n’ont pas été sollicités depuis un certain temps pourraient être « surpris » de l’effort soudain que vous leur imposez. Faites des pauses Pris d’enthousiasme pour le jardinage, vous pourriez ne pas voir le temps passer. Penser à modifier votre position et à vous dégourdir toutes les 20 minutes ou moins. Écoutez les signaux que vous envoie votre corps. Un tiraillement, un engourdissement ou des fourmillements se font sentir? C’est le moment de changer de bouger ou de faire une pause. Dans ces moments de pause, profitez-en pour respirer efficacement et pour vous hydrater. C’est souvent au grand soleil que le jardinage se fait. Attention aux objets lourds Le jardinage peut ressembler à une activité inoffensive, mais elle comporte tout de même son lot de risques. Soulever des jardinières, des sacs de terre et de paillis peut occasionner des blessures si le mouvement n’est pas fait de manière ergonomique. Pour ne pas vous blesser, pensez à prendre l’objet près de votre corps, à écarter les pieds à la largeur des épaules et à plier les genoux tout en gardant le dos droit. Veillez à ne pas pivoter. Soyez vigilants. Si l’objet est trop lourd, ne le soulevez pas. Enfin, variez les tâches Pensez à vous faire un plan des tâches de jardinage pour ne pas rester trop longtemps dans la même position. Aussi, cela vous permettra de faire une pause, de vous étirer, de respirer et de vous hydrater. Gardez sous la main le diagramme ci-dessus qui vous rappelle comment bien entreprendre une journée de jardinage. Bon été dans les plantes et dans les fleurs ! Et en cas de blessures, consultez un de nos professionnels qui vous aidera à vous remettre sur pied !Pour un déménagement sans douleur
Que l’on utilise les services de déménageurs ou pas, déménager est une activité qui n’est pas sans risque. Il faudra inévitablement déplacer une boîte ou un meuble, parfois même quelques jours après avoir aménagé dans votre nouvelle demeure. Nous avons demandé à l’équipe de la Clinique Hévéa de nous livrer quelques conseils. J’emballe selon mes capacités Une bonne façon de s’assurer de ne pas trop forcer est d’emballer de manière à ce que vos boîtes ne soient pas trop lourdes ou difficiles à soulever. Par exemple, une grosse boîte pleine de livres sera difficile à lever du sol. Il est préférable de faire plusieurs petites boîtes lourdes et de mettre des objets plus légers, comme des vêtements, ou des draps, dans les boîtes plus volumineuses. L’importance des échauffements Comme déménager est un exercice exigeant pour le corps, il est recommandé de toujours débuter par quelques échauffements. Le but des échauffements est de préparer vos muscles et vos articulations à l’effort qu’ils vont subir. Si vous avez déjà votre routine d’échauffements avant un exercice physique, celle-ci est surement déjà appropriée ! Sinon, l’idéal est d’échauffer vos articulations, en pratiquant des rotations avec la tête, les épaules, les poignets, etc. jusqu’aux chevilles. C’est une bonne idée de s’étirer aussi quelques minutes après le déménagement. Prendre des pauses Il est fréquent que nous ayons à traiter des personnes qui se sont blessées en tentant d’aller trop rapidement. Il est préférable d’y aller graduellement, de prendre des pauses et de savoir s’arrêter quand on se sent plus fatigué•es. Les quelques minutes économisées sur les frais de location de camion ne font pas le poids face à tous les inconvénients causés par une blessure! Rien ne sert de prendre plusieurs boîtes à la fois, on risque de s’épuiser et de ne pas bien voir où on met le pied. Faire une bonne planification On s’évite bien des problèmes lorsqu’on s'assure que le camion à une rampe pour charger et décharger, qu’on ait un harnais à deux courroies ou un diable approprié s’il y a des meubles volumineux comme des électroménagers, que l'on porte des gants, qu’on place des tapis antidérapants si certains planchers sont glissants. Toutes ces mesures réduisent les risques de blessures ! Et n’oubliez pas de choisir des chaussures solides et confortables, qui protègent le pied. Évitez les sandales et les tongs, qui peuvent se déchausser en reculant. On plie les genoux ! Au lieu de se pencher pour prendre une boîte, on s’approche de l’objet à soulever et on plie les genoux ! Comme ça, on évite les douleurs au dos. Il faut aussi garder les charges près du corps : on a beaucoup moins de force quand on tient une charge à bout de bras. Un bon truc est de rentrer le ventre, ce qui gaine vos abdominaux et garde le dos droit. Ce n’est pas un concours de force Tout le monde fait sa contribution, et ça ne veut pas dire qu’on doit épater les autres par notre force physique. C’est une meilleure idée de demander de l’aide pour soulever les charges plus lourdes, ou demander aux personnes en meilleure forme que nous si elles peuvent s’en occuper plutôt que de se faire mal par bravoure. Il y a tant à faire durant un déménagement, chacun•e son rôle !En suivant tous ces conseils, vous mettez toutes les chances de votre côté pour ne pas vous blesser ! Si vous ressentez une douleur intense durant le déménagement, il est préférable d’arrêter et de laisser aux autres le soin de terminer. Plusieurs professionnels de la Clinique Hévéa peuvent vous aider si des douleurs persistent. Contactez-nous pour prendre rendez-vous ! Photo par HiveBoxx sur Unsplash
Acupuncture et allergies saisonnières
Les allergies saisonnières représentent une problématique certaine pour ceux et celles qui en souffrent. De façon générale, une allergie est causée par une réaction exagérée du système immunitaire face à une substance reconnue comme étant potentiellement dangereuse. Les principaux symptômes vécus regroupent les picotements, le larmoiement des yeux, la congestion, l’écoulement nasal et les éternuements. Ces inconforts peuvent être soulagés avec de la médication (antihistaminique) et même avec l’acupuncture qui permet une désensibilisation aux allergènes. Votre acupuncteur.e vous proposera de traiter d’abord votre terrain avant même l’apparition des symptômes en régularisant les fonctions du Poumon, du Foie et du Rein. C’est ce qu’on appelle la prévention. Si toutefois vous expérimenter des épisodes symptomatiques en période de crise, votre acupuncteur. e pourra traiter les désagréments occasionnés par le contact de l’allergène en calmant la congestion, les écoulements et les picotements. En résumé, d’un à deux mois avant la période d’allergies saisonnières, voyez votre acupuncteur.e une fois par semaine pour quatre semaines. Si des symptômes persistent malgré tout pendant la période des allergènes, consultez-le au besoin. Votre équipe d’acupuncteures Julie Latour, Ac. Julie Rivard, Ac. Nancy Deschênes, Ac.La chiropratique pour prévenir les blessures dans les sports d'hiver
Si vous êtes amateur de sports d’hiver comme moi, vous attendez avec impatience l’arrivée de la neige. Pourquoi ne pas profiter de cette période pour préparer votre prochaine saison ? Faites comme les athlètes de haut niveau et faites-vous ajuster pour prévenir les blessures et mieux performer ! Peu importe votre niveau, je vous invite à venir me rencontrer, que ce soit pour une évaluation préventive de votre condition ou pour corriger les malaises qui pourraient nuire à votre plaisir cet hiver. Au plaisir de vous rencontrer ! Dr Benjamin Labrie, chiropraticien et skieur passionné * Offre valide jusqu’au 28 février 2022 inclusivement. Le tarif de la première visite ne comprend jamais les coûts de radiographies, si prescrites.L'été bat son plein - prévenez les blessures
L’été, c’est la saison idéale pour la reprise de certains sports, dont le vélo de route et la planche à pagaie. Soyez prévenants et informez-vous via ces deux capsules sur comment réduire les risques de blessures. Et surtout, suivez les règles de sécurité. En effet, la planche à pagaie qui gagne en popularité peut sembler bien inoffensive. Pourtant, la personne qui se lance dans cette activité sans en connaître les risques peut se retrouver face à certains dangers (courant inattendu, eau froide, etc.). Informez-vous des courants, de la météo à venir et ayez votre veste. Toutefois, soyez rassurés : en cas de blessures, l'équipe de professionels présente chez Hévéa pourra vous épauler pour un retour à vos activités. Sur ce, bonnes randonnées sur l’eau et sur la route ! Planche à pagaie - prévention des blessuresVélo de route - prévention des blessures
Notre nouveau système de prise de rendez-vous en ligne est activé
Depuis maintenant 4 ans, vous avez été habitués à prendre rendez-vous en ligne sur la plate-forme de GoRendezVous. Nous savons que vous avez apprécié pouvoir planifier vos rendez-vous au moment qui vous convient, sans avoir à contacter la réception dans les heures d’ouverture.Cela ne change pas, mais vous devez dorénavant utiliser l’outil de rendez-vous en ligne Jane qui a déjà fait ses preuves au sein de plusieurs cliniques. Si nous avons choisi de migrer vers cette plate-forme, c’est parce qu’elle offre, en plus de la gestion des rendez-vous en ligne, la possibilité d’avoir des dossiers patients informatisés. Le partage de données entre professionnels, s’il y a lieu, est simplifié et l’utilisation du papier réduite. Si ce n'est déjà fait, vous êtes maintenant invités à activer votre compte sécurisé via ce lien qui vous donne accès à la prise de rendez-vous en ligne après avoir créé votre profil. Lors de la création de votre profil, n’oubliez pas de compléter vos coordonnées et d’indiquer vos préférences de rappel . Vous avez besoin d'accompagnement? N'hésitez pas à contacter la réception entre 8h30 et 14h30 où quelqu'un sera en mesure de vous aider. Nous vous remercions de votre patience lors de cette période de transition. De l’équipe des gestionnaires de Clinique Hévéa
Prévenir les douleurs associées au travail de caissier
En ces temps de pandémie, certains travailleurs des services essentiels et prioritaires sont plus sollicités qu'en temps normal. C'est d'ailleurs le cas des caissiers et caissières des épiceries pour qui travailler debout de longues heures peut engendrer des problématiques au dos, aux jambes et aux pieds, telles que varices, enflure des jambes, raideurs de la nuque et des trapèzes. Votre employeur a une responsabilité quant à votre sécurité physique et quant à l'ergonomie de votre poste de travail. Soyez alertes! - Ne sous-estimez pas les risques associés au travail debout;- Portez des chaussures adaptées;
- Organisez votre espace de travail;
- Pensez à faire des étirements pendant et après votre quart de travail. Pour davantage de précision sur le sujet, consultez les chirotrucs pour prévenir les douleurs associées au travail de caissier de l'Association des chiropraticiens du Québec.