Survivre à la fin de session

Cette période où les lumières du temps des Fêtes s’allument est aussi celle où la tension monte pour tous les étudiants qui devront affronter leur fin de session collégiale ou universitaire.  Les professionnels de la Clinique Hévéa, ayant eux-mêmes été longtemps étudiants, connaissent trop bien les défis physiques et psychologiques qui font partie intégrante des fins de session. Contexte éprouvant pour la santé Qui dit enfilade d’examens dit longues heures immobiles à étudier, sommeil souvent écourté, alimentation sur le pouce, effort mental soutenu, anxiété de réussite. Cette combinaison de facteurs a de quoi mettre la santé des étudiants à rude épreuve. Vos professionnels vous partagent quelques astuces pour mieux traverser ce marathon de travail. On ne le dira jamais assez, il faut bouger ! L’activité physique est votre alliée numéro un. En effet, elle est reconnue pour réduire le stress, se sentir mieux dans son corps et dans sa tête. L’exercice améliore la concentration et la qualité du sommeil. Pas le temps, vous pensez ? De 15 à 30 minutes par jour suffisent pour vous apporter des bienfaits. Une marche active dans votre quartier fera l’affaire en plus de vous oxygéner le cerveau, votre outil de travail le plus important. Prenez de courtes pauses pendant votre étude pour vous lever et vous étirer ou faire quelques squats, par exemple.  Un peu d’ergonomie Pour mieux tolérer les postures statiques pendant les heures d’études, vos professionnels vous recommandent de changer régulièrement de posture. Une chaise de bureau bien ajustée par rapport au bureau et à l’écran est un bon départ. Mais même assis selon les meilleurs standards, votre corps se lassera d’être dans la même position. Quelques solutions ergonomiques Alternez avec une posture debout dès que vous le pouvez; Utilisez un ballon suisse pour vous asseoir pendant 10 minutes pour stimuler vos muscles dorsaux; Installez-vous sur un sofa, le dos appuyé bien droit sur des coussins avec un support sur vos genoux; Lisez à plat ventre sur votre lit pour une période de 10 minutes. Bien se nourrir et s’hydrater Lorsque le temps nous manque et encore plus lorsqu’on est stressé, on est porté à se gaver de repas prêts-à-manger, de café et de boissons sucrées. Pourtant les aliments riches en gras et en sucres raffinés provoqueront des baisses d’énergie. Grignotez plutôt des fruits, légumes, noix et graines en étudiant ou prenez des pauses pour cuisiner un petit plat santé. Aussi, hydratez-vous adéquatement. Nourrissez vos neurones de bon carburant pour soutenir votre acuité mentale ! Dormir Le sommeil est un autre essentiel. Il est recommandé de dormir 7 à 8 h par nuit. Une bonne hygiène de sommeil améliore l’humeur, la concentration ainsi que la capacité d’apprentissage. Le genre d’atouts qu’on recherche en fin de session ! Pour un sommeil de meilleure qualité, évitez de regarder un écran 30 minutes avant de vous coucher  et évitez également de manger 2 heures avant.  Gérer son stress Le stress nous prive de nos pleines capacités d’attention, de jugement, d’analyse et de mémorisation. Trouvez le meilleur moyen pour le réduire. Par exemple, en s’organisant pour se sentir bien préparé à un examen, en prenant des pauses d’études régulièrement pour faire quelque chose qui nous fait du bien (bouger, écouter de la musique, méditer ou appeler un ami).  Et si ça ne va pas ?  Une proportion importante d’étudiants souffrent de maux de cou et de maux de tête. En effet, la posture d’étude est particulièrement éprouvante pour le cou.  La tête étant souvent portée vers l’avant, les muscles, disques et nerfs de la région cervicale peuvent engendrer de la douleur dans le cou et les épaules ainsi que des engourdissements aux mains.  La céphalée de tension La céphalée de tension est un type de mal de tête aussi fréquent chez les étudiants. Celle-ci se présente comme une douleur sourde et continue à la tête décrite comme une sensation de pression au front, aux tempes et/ou derrière la tête.  Causes des céphalées de tension Un manque de sommeil; Une déshydratation; Un repas sauté; Le stress; Une charge de travail excessive; Le serrement de mâchoire; La fatigue musculaire au niveau de la tête ou du cou. Une douleur passagère peut être gérée en contrôlant les causes identifiées, soit avec le repos et la relaxation, une meilleure hydratation, une douche chaude ou un sac chaud au niveau du cou. Par contre, si une douleur persiste au-delà de quelques jours ou réapparaît régulièrement, n’hésitez pas à consulter vos professionnels de la santé chez Clinique Hévéa.  Ils peuvent vous aider en unissant leurs compétences à traverser votre fin de session avec un maximum de confort ! Bon succès à tous nos étudiants ! Pour prendre rendez-vous.  

Offrez la santé et la détente en cadeau : offrez la massothérapie !

Vous aimeriez offrir un soin en massothérapie? C'est une excellente idée, d'autant plus que la massothérapie offre de nombreux avantages. Qu’est-ce que la massothérapie La massothérapie est une thérapie qui vise la manipulation des tissus mous du corps, dont les muscles, le tissu conjonctif, les tendons, les ligaments et les articulations. On y a recours pour la détente, pour des soins thérapeutiques précis et en prévention. La massothérapie est une option de soins de santé à orientation clinique qui aide à soulager l’inconfort associé au stress professionnel quotidien, à la surutilisation musculaire et à de nombreuses douleurs chroniques. La massothérapie peut être utilisée comme traitement pour les maladies aiguës et chroniques. Les massothérapeutes travaillent avec une grande variété de patients dans le traitement de la maladie et dans le cadre d’une réadaptation après une blessure. Bienfaits de la massothérapie Les traitements de massothérapie dispensés par un massothérapeute peuvent offrir des avantages significatifs pour une variété de conditions et pour diverses populations de patients. Que vous ayez besoin d’un moment de détente, de réduire la tension musculaire ou d’obtenir un soulagement de la douleur chronique, la massothérapie peut améliorer votre bien-être général. La massothérapie peut aider à soulager les troubles musculo-squelettiques associés au stress quotidien, à la surutilisation musculaire, aux manifestations physiques de détresse mentale et à de nombreux syndromes de douleur persistante. La massothérapie pour un maintien de la santé En effet, des suivis périodiques en massothérapie peuvent, entre autres :  - Réduire ou éliminer la douleur - Améliorer la mobilité articulaire - Améliorer le drainage lymphatique - Réduire les tensions musculaires Le Dr Pierre Arsenault, qui a effectué une revue de la littérature scientifique en massothérapie, a identifié que la massothérapie était bénéfique pour ces conditions suivantes : - La fatigue chronique ; - Le stress ; - La migraine ; - La douleur chronique ; - Les douleurs lombaires ; - La douleur au cou et aux épaules ; - Les structures et inflammations musculosquelettiques ; - La santé mentale et troubles dépressifs. Pour avoir accès à la revue de littérature scientifique, consultez ce lien. Offrez la santé en cadeau Les trois massothérapeutes qui pratiquent chez Clinique Hévéa offrent la possibilité d’offrir un chèque cadeau à la personne qui vous est chère. Contactez la réception pour réserver le vôtre. Chantal Laforce, massothérapeute Julie Rivest, massothérapeute Isabelle Provost, massokinésithérapeute

L'acupuncture pédiatrique pour vos petits

Les bébés et les enfants, avec leur énergie florissante, répondent particulièrement bien aux traitements d’acupuncture.Plusieurs conditions peuvent être traitées chez les enfants. Les traitements sont généralement brefs et peu de séances sont nécessaires pour voir apparaître des résultats significatifs. Ce que traite l'acupuncture Maux de ventres et coliques  Reflux gastriques Diarrhée  Constipation  Rhume à répétition , otites, sinusites  Toux Asthme, allergies non alimentaires  Troubles du sommeil, terreurs nocturnes  Énurésie (pipi au lit) La plupart des enfants aiment se faire traiter en acupuncture. Le thérapeute suit le rythme de l’enfant et lui présente sous forme de jeu. Curieux de nature, ils s’amusent lors des séances et apprécient être impliqués dans le déroulement du traitement. Est-ce douloureux? Les traitements sont peu douloureux chez l’enfant tout comme chez l’adulte et le thérapeute s’ajuste au seuil de tolérance de l’enfant. Les outils utilisés sont de fines pointes d’aiguilles sur collants qui sont à peine perceptibles pour l’enfant. Il est possible de ressentir un léger pincement , mais cette sensation disparaît normalement après quelques secondes. Il existe aussi des moyens alternatifs pour compléter le traitement tel le petit laser, l’acupression et le rouleau pour enfant. Faut-il rester immobile? Si vous avez déjà reçu un traitement d’acupuncture, vous avez sans doute été étendu avec les aiguilles en place pendant un certain temps. Les traitements pour les enfants se déroulent différemment. Nous nous ajustons en fonction de l’âge et du besoin de bouger de l’enfant. Des aiguilles de très petites tailles peuvent être maintenues en place par un collant, laissant l’enfant libre de bouger et de s’amuser pendant que le traitement se déroule. D’autres aiguilles peuvent être laissées en place pour une durée de quelques secondes à quelques minutes, en fonction de la tolérance de l’enfant. La séance se déroule souvent sous forme de jeu. Des jouets et des livres sont mis à la disposition de l’enfant, et vous pouvez lui apporter un jouet ou un objet qu’il aime particulièrement. À partir de quel âge ? Il est possible de traiter un bébé en acupuncture dès les premières semaines de vie. Le traitement est adapté en fonction de l’âge du bébé et de ses besoins. Le bébé peut être traité dans les bras de l’un de ses parents, si nécessaire. Il est aussi possible de l’allaiter ou de lui donner un biberon en cours de traitement. Pour prendre rendez-vous avec Julie Rivard qui affectionne particulièrement cette clientèle : Clinique Hévéa Julie Rivard Ac.

Chantal Laforce, massothérapeute investie

Apprendre à connaître Chantal, c’est toucher à cette belle et grande sensibilité qui l’habite et qui côtoie sa fabuleuse force. Amusez-vous en lisant ces lignes qui nous exposent quelques faits de son vécu. Chantal, raconte-nous les circonstances qui t’ont menée à devenir massothérapeute. En toute humilité, ce n’est pas moi qui ai choisi la massothérapie. C’est plutôt elle qui m’a trouvée, au terme de deux voyages qui allaient naturellement forger mon avenir. Le premier, en Thaïlande, a duré trois mois. J’y ai suivi des cours de massothérapie pour le plaisir. Et j’ai beaucoup aimé ça ! Mon deuxième voyage, en Inde, m’a quant à lui ouvert davantage l’esprit alors que j’y ai pratiqué le yoga. De retour au Québec, j’étais à la recherche d’une « destination » professionnelle. Ma bonne amie a alors vu en moi la possibilité de devenir massothérapeute. J’ai tout de suite compris ce qu’elle voulait dire. À 21 ans, j’entamais déjà mes études pour devenir massothérapeute. Quels deux ou trois livres t’ont fait un grand bien en les lisant ? La lecture est récente dans ma vie. Mais à présent, j’ai souvent plus d’un livre sur ma table de chevet et je passe d’un à l’autre sans difficulté. S’il en est un que j’ai beaucoup apprécié pour son style, c’est Le mur mitoyen, de Catherine Leroux. Les pauses provoquées par la poésie qui s’y trouve nous font voyager doucement et profondément. À un moment de remise en question, j’ai aussi eu la chance d’avoir entre les mains Femmes qui courent avec les loups, de Clarissa Pinkola Estés. À ce moment de ma vie, j’ai eu cette impression qu’on y parlait littéralement de moi. Ce fut un moment apaisant. Plus récemment, j’ai lu la bande dessinée Le petit astronaute, de Jean-Paul Eid. Cette lecture, dans son ode à la vie, m’a fait un bien immense. Qu’est-ce qu’on ignore de toi et qui pourrait nous surprendre ? Chaque fois que vous vous faites masser par moi, le Dalaï-Lama est aussi un peu avec vous ! Oui, oui ! J’ai eu l’infinie chance que ce grand leader spirituel prenne ma main lors d’une apparition publique à l’occasion de mon voyage en Inde. Même si cet instant n’a duré que quelques secondes, il m’a marqué à jamais. Dans un futur proche ou lointain, y a-t-il un objectif que tu aimerais atteindre ? Même si elle n’est pas toujours facile à atteindre, la résilience est un état qui me fait du bien. J’avance dans la vie en souhaitant davantage sa présence, tout en ancrant en moi une confiance et une sérénité qui m’y portent. Mais au-delà de la résilience, mon objectif premier est d’être, au moment venu, une grand-mère full cool !!! Si j’y arrive, j’aurai atteint le plus grand et le plus important des objectifs ! Merci infiniment, Chantal, de nous avoir partagé une partie de ce qui t'habite.  Suite à cette rencontre avec Chantal, nous comprenons mieux d’où vient toute cette empathie qui l’habite lorsqu’elle nous accueille pour un soin en massothérapie. Vous souhaiteriez expérimenter un massage avec cette professionnelle ? Consultez sa fiche ici pour prendre rendez-vous.