Le drainage lymphatique, beaucoup plus qu'un doux massage
Le drainage lymphatique est un processus biologique essentiel qui fait partie du système lymphatique. Il est responsable du transport de la lymphe, un liquide clair et jaunâtre, à travers les vaisseaux lymphatiques dans tout le corps. Le système lymphatique est un réseau complexe de vaisseaux, de ganglions lymphatiques et d’organes lymphoïdes, qui joue un rôle crucial dans l’immunité, la circulation des fluides et l’élimination des déchets. Les ganglions lymphatiques sont des structures nodulaires présentes le long des vaisseaux lymphatiques. Ils filtrent la lymphe en éliminant les bactéries, les virus, les cellules cancéreuses et d’autres débris cellulaires. Le massage Le massage de drainage lymphatique est une technique spécifique qui vise à stimuler le système lymphatique et à favoriser le drainage de la lymphe accumulée dans les tissus. Ce type de massage est souvent utilisé pour réduire l’enflure, améliorer la circulation lymphatique et favoriser la détoxification du corps. Voici comment le massage de drainage lymphatique est généralement pratiqué : Positionnement du client : Le client est allongé sur une table de massage, comme pour un massage régulier. Techniques de massage spécifiques : Pour ce type de massage, le thérapeute utilise des mouvements doux, rythmiques et répétitifs qui suivent le sens de la circulation lymphatique. Les mouvements sont effectués avec les mains, les doigts ou les paumes, en exerçant une pression légère et constante sur la peau. Le thérapeute ne doit pas écraser les tissus, puisque les canaux lymphatiques seraient alors bloqués par la pression des doigts. Point de départ : Le massage commence généralement par le drainage des ganglions lymphatiques situés près du cou, tels que les ganglions lymphatiques sous-maxillaires ou les ganglions lymphatiques cervicaux. Ces points de départ aident à faciliter le flux lymphatique dans le reste du corps. En effet, la lymphe circulant uniquement du bas vers le haut, on doit d’abord s’assurer que l’extrémité supérieure n’est pas congestionnée avant de traiter l’extrémité inférieure. Techniques d’ouverture : Le thérapeute peut également utiliser des techniques spécifiques pour ouvrir les vaisseaux lymphatiques et faciliter le drainage, telles que des mouvements de rotation des articulations ou des techniques de mobilisation douce de la peau. Il est important de noter que le massage de drainage lymphatique doit être pratiqué par un professionnel formé et qualifié, car il nécessite une connaissance approfondie de l’anatomie et des techniques appropriées. Il peut être utilisé pour traiter différentes conditions médicales, notamment les œdèmes, les cicatrices, les troubles circulatoires et les problèmes liés à l’immunité. Le drainage lymphatique peut également être utilisé à des fins de relaxation et de détente, alors qu’il peut favoriser la relaxation musculaire, soulager les tensions et le stress, et améliorer le bien-être général. Quelques contrindications : Tumeur maligne non traitée, inflammation aiguë, thrombose ou phlébite aiguë Si vous consultez pour un problème spécifique, un massage d’une heure trente peut être nécessaire. Parlez-en à notre thérapeute. Pour prendre rendez-vous avec Dora, c'est par ici.La marche, c'est pour tout le monde
Parfois négligée en tant qu’activité physique, la marche est un moyen simple et phénoménal d’être plus actif et d’être en meilleure santé. Faire de la marche régulièrement à un rythme soutenu améliore votre forme cardiovasculaire, réduit le risque de maladie cardiaque et d’accident vasculaire cérébral, atténue la dépression et aide à maintenir un poids santé. La marche pour briser l’isolement La popularité de la marche comme exercice a commencé en 2020 pendant la pandémie. Les confinements nous ont poussés à faire de l’exercice et à passer plus de temps à l’extérieur. Une promenade au milieu de la journée a aidé à briser la routine de travail alors que nous étions confinés dans nos petits bureaux à domicile. Pendant notre temps libre, au lieu de se retrouver pour un café ou un verre, beaucoup d’entre nous ont commencé à se retrouver pour une promenade dans le parc. Les gymnases étant fermés, les marches rapides nous ont aidés à rester en forme. Même les rendez-vous à pied sont devenus populaires — il n’y a pas de meilleur moyen de se remonter le moral que de marcher tout en apprenant à connaître quelqu’un de spécial. Même après la COVID, la marche continue d’être une tendance majeure en matière d’activité physique dans tous les groupes d’âge du monde entier. Il s’agit d’une activité à faible impact et à bénéfices élevés, et les données montrent qu’elles sont là pour rester. Selon les statistiques, les personnes de tous âges passent plus de temps à l’extérieur en marchant rapidement. Non seulement nous marchons plus, mais nous sommes aussi plus conscients de la façon dont nous marchons. Nous aimons suivre chaque étape que nous franchissons et la technologie nous aide à analyser les données pour suivre nos progrès. Plusieurs applications gratuites sont d’ailleurs disponibles pour nous aider en ce sens. Combien de temps marcher ? Une simple marche rapide de 10 minutes par jour présente certains avantages pour la santé. Même si le rythme de marche est léger à faible, les promenades nous aident à brûler les calories excédentaires, à équilibrer le métabolisme et, éventuellement, à réduire notre tour de taille. Et surtout, la marche réduit l'anxiété et les impacts du stress. Que ce soit au cœur des forêts ou des montagnes, ou perdu dans les rues de votre quartier, le désir de passer du temps à l’extérieur et de marcher est universel.Mieux vaut prévenir que mourir
C’est le slogan de la 33e campagne de l’Association québécoise de prévention du suicide (AQPS) qui se tient du 5 au 11 février 2023. Pourquoi une semaine de prévention sur le suicide ? Pourquoi parler du suicide ? Que faire si vous ou un proche avez des idées suicidaires ? Cette année, l’AQPS nous invite à oser parler du suicide. Une semaine de prévention sur le suicide La semaine nationale de prévention du suicide est un évènement de sensibilisation et de mobilisation. Cette année, la campagne de prévention met de l’avant l’importance de la prévention et invite les gens à oser parler du suicide, car chacun peut avoir un rôle actif en aidant à sauver une vie humaine. Selon l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), il y a eu 1055 suicides au Québec en 2020, soit 3 suicides par jour. Il y a 3 fois plus de suicide chez les hommes que les femmes et le taux de suicide est plus élevé chez les hommes âgés de 50 à 64 ans. Aussi, ce sont les jeunes filles et les adolescentes qui sont davantage hospitalisées pour des idées suicidaires ou une tentative, la statistique est de 11% pour les adolescentes âgées de 15 à 19 ans. C’est 2 fois plus qu’il y a 5 ans et les hospitalisations pour idées suicidaires augmentent pour les garçons de 14 à 19 ans. Parler du suicide Ces statistiques sont déroutantes et nous devons collectivement et individuellement soutenir les personnes qui auraient des idées suicidaires. Il n’est pas toujours aisé d’avoir une conversation sur le suicide. Or, si vous vous inquiétez pour une personne proche, prenez le temps de lui parler et de l’écouter. - Exprimez vos inquiétudes (je m’inquiète pour toi, comment vas-tu ? Tu n’as pas l’air d’aller ?) - Encouragez la personne à vous parler de ce qu’elle vit actuellement - Demandez-lui de clarifier ses propos inquiétants - Demandez-lui si elle pense au suicide (Est-ce que tu penses au suicide ? Est-ce que tu envisages de mettre fin à tes jours ? Est-ce que tu as l’intention de t’enlever la vie ?) - Invitez la personne à demander de l’aide Il faut toujours prendre les idées suicidaires au sérieux. Si vous pensez au suicide ou avez des inquiétudes pour un proche, des intervenants sont disponibles pour vous aider, 24/7 : Téléphone : (sans frais) 1-866-APPELLE (1-866-277-3553) Texto : 1-855-957-5353 Clavardage, informations, outils : www.suicide.ca Si la vie de la personne ou si vous êtes est en danger imminent de commettre un geste suicidaire ou s’il y a une menace de mettre d’autres vies en danger, appelez les services d’urgence (9-1-1). À la Clinique Hévéa, vous pouvon vous diriger vers la bonne ressource si vous vivez de la détresse émotionnelle, si vous pensez au suicide ou si le suicide semble pour vous une option. Vous êtes important.e.s pour nous ! Sources : Association québécoise de prévention du suicide Institut national de santé publique du QuébecIl faut pelleter ? Suivez le guide !
Puisqu’il est inévitable pour plusieurs de pratiquer ce sport bien involontaire, voici, en ce début de saison, quelques conseils d’usage pour bien s’exécuter à la pelle ! L’ABC du pelletage sécuritaire Comme pour bien des sports, le bon équipement rend l’expérience plus agréable et plus sécuritaire. À la base, portez un bon manteau respirant et de bonnes bottes antidérapantes. Choisissez une pelle légère et adéquate pour votre taille et portez attention à votre technique. Respectant les conseils des pros, poussez la neige plutôt que de la soulever, pliez les genoux et évitez les torsions. Finalement, en vous échauffant les muscles pour les préparer à l’effort, et en coupant la tâche en plusieurs séances intercalées de pauses, vous réduirez vos risques de blessures. Évidemment, il est bon de rappeler que les personnes souffrant de conditions cardiaques ou dorsales devraient éviter le plus possible le pelletage. Nous vous invitons à suivre les conseils professionnels de l’Association chiropratique canadienne ici. Pelleter a aussi des avantages ! D'accord, les goûts sont partagés. Certains pellettent dans la joie et d’autres pas ! Quoiqu’on en pense, le pelletage n’est pas qu’une corvée. Il présente aussi de bons côtés. Voici quelques avantages de cette activité, cités par l’Association chiropratique québécoise : – c’est un exercice physique qui permettrait de brûler 180 à 266 calories par 30 minutes ; – les bons mouvements de pelletage renforcent les muscles des épaules, des bras, du dos, de la ceinture abdominale et des jambes ; – passer du temps à l’extérieur par temps ensoleillé permet de faire le plein de vitamine D. La lumière naturelle aurait également un effet bénéfique sur l’humeur ; – c’est l’occasion de mettre la famille à contribution et de s’amuser avec les enfants à l’extérieur. Si ça ne va pas Les douleurs au bas dos, aux épaules et au cou sont particulièrement communes avec le pelletage, comme avec d’autres activités physiques exigeantes. Des blessures plus sévères tels que les entorses lombaires et les hernies discales peuvent être engendrées par des mouvements mal exécutés. Si vous ressentez des inconforts ou des douleurs suite à votre activité de pelletage, ne les ignorez pas. Consultez votre équipe de professionnels de chez Clinique Hévéa. Ils s’y connaissent en blessures musculo-squelettiques !Être fin prêt pour les sports de glisse
Voilà, l’hiver s’installe enfin. Nous pouvons maintenant pratiquer nos sports de glisse préférés, dont le ski de fond, le ski alpin et le patin. Mais soyons d’abord prêts physiquement afin d’éviter les blessures. Voici nos conseils sur le plan de la préparation, d’exercices, d’échauffement et de nutrition. La préparation La première règle pour éviter les blessures, c’est la préparation du corps. Quelques semaines avant de sauter sur vos skis ou autres équipements, assurez-vous de modifier votre entraînement afin d’y inclure des exercices ciblés pour les groupes de muscles concernés (fessiers, quadriceps), des exercices de gainage et des exercices de proprioceptions. Cela évitera d’être confronté à des crampes ou des douleurs articulaires. Exercez-vous de façon régulière Afin de vous préparer, vous pourriez débuter par des exercices de proprioception en vous tenant sur un pied, tout en ouvrant et fermant les yeux. Pour préparer votre ceinture pelvienne, il suffit d’intégrer des exercices pour les abdominaux et pour le gainage. Pour les jambes, vous pourriez par exemple faire des squats centraux et de côté (qui favoriseront les muscles des jambes et l’articulation du genou), le pont et la planche, qui elle travaille le corps de façon globale. Oui, oui, il faut s’échauffer! L’échauffement vise à réveiller les muscles en activant la circulation sanguine. Bien sûr, exécuter quelques mouvements rotatoires et d’extension des poignets, épaules, chevilles et hanches est un excellent début. Étirez aussi vos quadriceps, vos mollets (gastrocnémiens et soléaire) et vos ischiojambiers. Ensuite, pour augmenter l’apport en sang dans les muscles, vous pourriez choisir de faire un léger jogging, ce qui aura aussi pour effet de réveiller le muscle le plus important, votre cœur. Se nourrir adéquatement Avoir du bon carburant pour les muscles est gage de plaisir. En effet, en étant bien nourri, vous aurez moins de chance de faire face à une crampe, entre autres. Choisissez des aliments qui vous apporteront un maximum d’énergie et qui sont riches en protéines. Cela permettra à vos muscles d’être nourris pour une longue période. N’oubliez pas les glucides, présents dans les fruits, entre autres. Enfin, l’hydratation! On peut avoir tendance à l’oublier, puisque l’hiver, il fait froid. Malgré tout, vous transpirez! Si malgré tous ces conseils pour subissez une blessure, consultez notre site web pour voir comment nos professionnels peuvent vous aider à récupérer de votre blessure. Profitez bien de l’hiver!Survivre à la fin de session
Cette période où les lumières du temps des Fêtes s’allument est aussi celle où la tension monte pour tous les étudiants qui devront affronter leur fin de session collégiale ou universitaire. Les professionnels de la Clinique Hévéa, ayant eux-mêmes été longtemps étudiants, connaissent trop bien les défis physiques et psychologiques qui font partie intégrante des fins de session. Contexte éprouvant pour la santé Qui dit enfilade d’examens dit longues heures immobiles à étudier, sommeil souvent écourté, alimentation sur le pouce, effort mental soutenu, anxiété de réussite. Cette combinaison de facteurs a de quoi mettre la santé des étudiants à rude épreuve. Vos professionnels vous partagent quelques astuces pour mieux traverser ce marathon de travail. On ne le dira jamais assez, il faut bouger ! L’activité physique est votre alliée numéro un. En effet, elle est reconnue pour réduire le stress, se sentir mieux dans son corps et dans sa tête. L’exercice améliore la concentration et la qualité du sommeil. Pas le temps, vous pensez ? De 15 à 30 minutes par jour suffisent pour vous apporter des bienfaits. Une marche active dans votre quartier fera l’affaire en plus de vous oxygéner le cerveau, votre outil de travail le plus important. Prenez de courtes pauses pendant votre étude pour vous lever et vous étirer ou faire quelques squats, par exemple. Un peu d’ergonomie Pour mieux tolérer les postures statiques pendant les heures d’études, vos professionnels vous recommandent de changer régulièrement de posture. Une chaise de bureau bien ajustée par rapport au bureau et à l’écran est un bon départ. Mais même assis selon les meilleurs standards, votre corps se lassera d’être dans la même position. Quelques solutions ergonomiques Alternez avec une posture debout dès que vous le pouvez; Utilisez un ballon suisse pour vous asseoir pendant 10 minutes pour stimuler vos muscles dorsaux; Installez-vous sur un sofa, le dos appuyé bien droit sur des coussins avec un support sur vos genoux; Lisez à plat ventre sur votre lit pour une période de 10 minutes. Bien se nourrir et s’hydrater Lorsque le temps nous manque et encore plus lorsqu’on est stressé, on est porté à se gaver de repas prêts-à-manger, de café et de boissons sucrées. Pourtant les aliments riches en gras et en sucres raffinés provoqueront des baisses d’énergie. Grignotez plutôt des fruits, légumes, noix et graines en étudiant ou prenez des pauses pour cuisiner un petit plat santé. Aussi, hydratez-vous adéquatement. Nourrissez vos neurones de bon carburant pour soutenir votre acuité mentale ! Dormir Le sommeil est un autre essentiel. Il est recommandé de dormir 7 à 8 h par nuit. Une bonne hygiène de sommeil améliore l’humeur, la concentration ainsi que la capacité d’apprentissage. Le genre d’atouts qu’on recherche en fin de session ! Pour un sommeil de meilleure qualité, évitez de regarder un écran 30 minutes avant de vous coucher et évitez également de manger 2 heures avant. Gérer son stress Le stress nous prive de nos pleines capacités d’attention, de jugement, d’analyse et de mémorisation. Trouvez le meilleur moyen pour le réduire. Par exemple, en s’organisant pour se sentir bien préparé à un examen, en prenant des pauses d’études régulièrement pour faire quelque chose qui nous fait du bien (bouger, écouter de la musique, méditer ou appeler un ami). Et si ça ne va pas ? Une proportion importante d’étudiants souffrent de maux de cou et de maux de tête. En effet, la posture d’étude est particulièrement éprouvante pour le cou. La tête étant souvent portée vers l’avant, les muscles, disques et nerfs de la région cervicale peuvent engendrer de la douleur dans le cou et les épaules ainsi que des engourdissements aux mains. La céphalée de tension La céphalée de tension est un type de mal de tête aussi fréquent chez les étudiants. Celle-ci se présente comme une douleur sourde et continue à la tête décrite comme une sensation de pression au front, aux tempes et/ou derrière la tête. Causes des céphalées de tension Un manque de sommeil; Une déshydratation; Un repas sauté; Le stress; Une charge de travail excessive; Le serrement de mâchoire; La fatigue musculaire au niveau de la tête ou du cou. Une douleur passagère peut être gérée en contrôlant les causes identifiées, soit avec le repos et la relaxation, une meilleure hydratation, une douche chaude ou un sac chaud au niveau du cou. Par contre, si une douleur persiste au-delà de quelques jours ou réapparaît régulièrement, n’hésitez pas à consulter vos professionnels de la santé chez Clinique Hévéa. Ils peuvent vous aider en unissant leurs compétences à traverser votre fin de session avec un maximum de confort ! Bon succès à tous nos étudiants ! Pour prendre rendez-vous.Offrez la santé et la détente en cadeau : offrez la massothérapie !
Vous aimeriez offrir un soin en massothérapie? C'est une excellente idée, d'autant plus que la massothérapie offre de nombreux avantages. Qu’est-ce que la massothérapie La massothérapie est une thérapie qui vise la manipulation des tissus mous du corps, dont les muscles, le tissu conjonctif, les tendons, les ligaments et les articulations. On y a recours pour la détente, pour des soins thérapeutiques précis et en prévention. La massothérapie est une option de soins de santé à orientation clinique qui aide à soulager l’inconfort associé au stress professionnel quotidien, à la surutilisation musculaire et à de nombreuses douleurs chroniques. La massothérapie peut être utilisée comme traitement pour les maladies aiguës et chroniques. Les massothérapeutes travaillent avec une grande variété de patients dans le traitement de la maladie et dans le cadre d’une réadaptation après une blessure. Bienfaits de la massothérapie Les traitements de massothérapie dispensés par un massothérapeute peuvent offrir des avantages significatifs pour une variété de conditions et pour diverses populations de patients. Que vous ayez besoin d’un moment de détente, de réduire la tension musculaire ou d’obtenir un soulagement de la douleur chronique, la massothérapie peut améliorer votre bien-être général. La massothérapie peut aider à soulager les troubles musculo-squelettiques associés au stress quotidien, à la surutilisation musculaire, aux manifestations physiques de détresse mentale et à de nombreux syndromes de douleur persistante. La massothérapie pour un maintien de la santé En effet, des suivis périodiques en massothérapie peuvent, entre autres : - Réduire ou éliminer la douleur - Améliorer la mobilité articulaire - Améliorer le drainage lymphatique - Réduire les tensions musculaires Le Dr Pierre Arsenault, qui a effectué une revue de la littérature scientifique en massothérapie, a identifié que la massothérapie était bénéfique pour ces conditions suivantes : - La fatigue chronique ; - Le stress ; - La migraine ; - La douleur chronique ; - Les douleurs lombaires ; - La douleur au cou et aux épaules ; - Les structures et inflammations musculosquelettiques ; - La santé mentale et troubles dépressifs. Pour avoir accès à la revue de littérature scientifique, consultez ce lien. Offrez la santé en cadeau Les trois massothérapeutes qui pratiquent chez Clinique Hévéa offrent la possibilité d’offrir un chèque cadeau à la personne qui vous est chère. Contactez la réception pour réserver le vôtre. Chantal Laforce, massothérapeute Julie Rivest, massothérapeute Isabelle Provost, massokinésithérapeuteOui, oui ! Il faut aussi prendre soin de soi !
Prendre soin de soi, c’est tout simplement s’aimer, pour qui nous sommes avec nos qualités, nos forces, nos défis, nos besoins, nos valeurs et nos croyances. C’est de prendre le temps de s’arrêter et de répondre à nos besoins avec bienveillance. C’est prendre un engagement envers soi de porter une attention privilégiée, comme si vous le faisiez pour une autre personne. Et pour cela, il faut plus qu’une bonne intention ! Prendre conscience que le temps pour soi est un besoin et une priorité et que cela devrait faire partie d’un rendez-vous spécial à votre agenda. Prendre soin de soi pour aller mieux, pour aller bien, pour être. S’occuper de soi pour pouvoir s’occuper des autres et ce, sans culpabiliser. Prendre soin de l’aspect physique - Manger sainement et prendre soin de la qualité de votre sommeil; - Faire une sieste au besoin; - Faire du sport régulièrement : marcher à l’extérieur, prendre les escaliers aussi souvent que possible, essayer la pratique d’une nouvelle activité sportive pour le plaisir; - Faire du yoga pour relaxer le corps et l’esprit; - Soigner sa posture pour éviter les douleurs physiques; Prendre soin de l’aspect mental; - Adopter une attitude d’accueil et développer une attitude zen face aux obstacles quotidiens; - Faire des choix et prendre des décisions en accord avec vos valeurs; - Parler avec soi-même de façon plus positive; - Pratiquer la gratitude au quotidien; - Prendre du temps de déconnexion des appareils technologiques, pour se connecter aux autres. Échanger avec des amis, de la famille, pour vous exprimer, pour discuter, pour rigoler; - Prendre le temps de réfléchir sur les facteurs de stress et ressentir les émotions qui les accompagnent; - Organiser votre espace de travail et votre chez-soi, pour éviter l’encombrement; - Demander de l’aide professionnelle si besoin, pour être écouté et soutenu; - Faire de la méditation pour se reconnecter à soi; Idées de lecture de blogues, livres, podcasts pour se faire du bien Prendre du temps pour soi : pourquoi et comment ? - Heureux tout simplement Balado - Nicole Bordeleau Opération bonheur on Apple Podcasts Arcand,M et Morin, M.- À go, on ralentit : 12 mois pour se reconnecter à l’essentiel, Éd. De l’Homme Guilbert, E.- Mange prie aime, Coll. Le livre de poche Merquis, S.- On est foutu, on pense trop !, Coll. Points Tolle, E.- Le pouvoir du moment présent, Coll. J’Ai luNos thérapies complémentaires pour soulager les effets secondaires des traitements contre le cancer
Les thérapies complémentaires et parallèles ne traitent pas le cancer à proprement parler. Elles visent plutôt l’amélioration de votre bien-être en général et de votre santé en vous aidant à vous adapter physiquement et émotivement aux traitements classiques du cancer. Leurs bienfaits sont d’ailleurs aujourd’hui reconnus par la communauté médicale. Bon nombre de ces thérapies peuvent aider à soulager certains effets secondaires liés aux traitements contre le cancer, comme les nausées ou la fatigue. Qui plus est, elles sont employées sans danger concomitamment aux traitements classiques contre le cancer. Elles peuvent vous aider à faire face au stress, à l’anxiété et aux autres défis que vous pourriez avoir à affronter au cours de votre chemin. L’acupuncture pour vous accompagner L’utilisation de l’acupuncture pour soulager les nausées provoquées par la chimiothérapie est un exemple de thérapie complémentaire. Diverses études menées au cours des dernières années, notamment par le National Cancer Institute (NCI), démontrent scientifiquement l’efficacité des traitements d’acupuncture en oncologie, pour : · Réduire les nausées et les vomissements liés à la chimiothérapie, particulièrement dans le cas du cancer du sein · Réduire le stress, l’anxiété, les symptômes dépressifs et la fatigue · Améliorer le sommeil · Diminuer les douleurs et dysfonctions post-chirurgicales, dont les cicatrices et adhérences · Traiter la sécheresse de la bouche induite par la radiothérapie · Atténuer les effets secondaires des traitements anti-hormonaux pour le cancer du sein · Diminuer les bouffées de chaleur pour les cancers du sein et de la prostate · Soulager les neuropathies périphériques · Améliorer le système immunitaire · Augmenter la vitalité durant les traitements de chimiothérapie et radiothérapie · Diminuer les lymphœdèmes L’ostéopathie en cas de mastectomie En effet, avoir recours à des traitements d’ostéopathie peut aussi être bénéfique, entre autres pour les patients qui ont subi des mastectomies. En effet, l’ostéopathe visera à diminuer les douleurs associées aux tensions musculaires tout en redonnant une amplitude articulaire. Le traitement visera également à favoriser le sommeil et à diminuer le niveau de stress. Pendant les traitements de chimiothérapie ou de radiothérapie, l’ostéopathe concentrera son traitement sur les douleurs persistantes, dont les neuropathies périphériques. En post-chirurgie, l’objectif sera de traiter, s’il y a lieu, les adhérences des cicatrices, pouvant provoquer des douleurs neuropathiques et nuire au glissement des fascias et ainsi interférer dans la fonction des muscles, des articulations et des nerfs. Prendre soin de votre santé mentale, un atout important Recevoir une nouvelle comme celle d’un diagnostic de cancer peut grandement affecter votre équilibre mental. Cela est normal. Une telle nouvelle peut demander beaucoup de réorganisation, tant au niveau de la famille que du travail, entre autres. Consulter un professionnel en santé mentale permet de poser nos questions à une personne de confiance en terrain neutre. Ce professionnel pourra aussi vous accompagner dans ces grands changements de vie, alors que vous aurez à vous adapter dans un très court laps de temps à une nouvelle réalité. La massothérapie La massothérapie peut être employée pour soulager les muscles endoloris ainsi que la raideur musculaire. On y a aussi recours pour réduire la douleur (comme les maux de tête et la douleur au bas du dos), l’anxiété et le stress. Elle favorise une circulation tout en améliorant la relaxation. Selon la Société canadienne du cancer, des études ont démontré que la massothérapie favorise à atténuer le stress, l’anxiété, la douleur, la fatigue et la dépression. Elle peut aussi aider à réduire l’insomnie en améliorant la qualité du sommeil. Services offerts chez Clinique Hévéa pour vous accompagner en cas d'effets secondaires de vos traitements classiques contre le cancer Acupuncture Ostéopathie MassothérapieL'impact du changement de saison sur notre humeur
Plusieurs d’entre nous peuvent trouver la période de l’automne difficile… Que nous soyons confrontés à une dépression saisonnière, à une maladie ou à une baisse d’énergie, il est tout à fait normal de vivre des périodes de hauts et de bas. En fait, nous sommes soumis aux mêmes lois que la nature, c’est-à-dire que notre vie est parsemée de cycles. Une chose est certaine, ces cycles font partie de la vie et sont inévitables. Par contre, il y a une façon de faciliter cette transition. Quelques idées pour faciliter les transitions saisonnières Ne pas y résister ! La souffrance vient davantage de la non-acceptation d’une situation que de la situation elle-même. Faites de votre mieux pour vous laisser porter par cette vague, même si elle est inconfortable. Ne pas s’identifier à la situation que vous vivez. Encore une fois, il est tout à fait normal de vivre des hauts et des bas, des réussites et des échecs, des périodes où on a plus d’énergie et d’autres où on est plus fatigués. Heureusement, tout change ! Tentez de voir cette période comme une expérience que vous faites au lieu de vous définir comme celle-ci. Par exemple, de vous identifier comme quelqu’un de dépressif, d’anxieux ou de colérique ne vous aidera probablement pas à sortir de cet état… Tentez simplement d’accueillir l’émotion que vous vivez actuellement en vous rappelant qu’il s’agit d’une expérience temporaire de tristesse, d’anxiété ou de colère… Cela aussi changera ! Offrez-vous du temps de repos et de régénération. Souvent, quand nous avons une baisse de motivation et d’énergie, c’est simplement un signal de notre corps qui nous indique qu’il a besoin de repos. Au lieu de lutter contre ce besoin légitime, permettez-vous de ralentir le rythme, de vous offrir des moments de ressourcement comme aller dans la nature ou vous offrir un massage. Dans tous les cas, prenez soin de vous avec amour et bienveillance au lieu de vous critiquer et de vous culpabiliser de ne pas être aussi productif que d’habitude. Si vous en ressentez le besoin, sachez que plusieurs services offerts à la clinique peuvent vous aider à traverser cette période avec plus de douceur et de légèreté, que ce soit grâce à la massothérapie, à l’acupuncture ou à du soutien psychologique. Pour pour prendre rendez-vous en ligne, c'est par ici.Une semaine pour souligner le travail de tous les proches aidants
Une semaine pour souligner le travail du proche aidant, ce n’est bien sûr pas suffisant. C’est tous les jours qu’on doit s’y attarder, en le soutenant tant au travail que dans son quotidien. Qui est le proche aidant ? Le proche aidant, c’est celui qui travaille dans l’ombre. Il se rend au travail souvent sans avoir envie d’y être, étant déjà fort occupé à soutenir quelqu’un dans le besoin. Il ne participe pas aux événements sociaux, socialise peu et ne peut participer à d’autres activités bénévoles. Car après le travail, le proche aidant est souvent à la maison en train de prodiguer des soins. Le proche aidant est une personne qui, sans être rémunérée, aide un parent, un partenaire, un ami ou un voisin qui a une incapacité physique ou mentale, des problèmes liés au vieillissement ou un trouble de santé de longue durée. L’impact du travail de proche aidant Au Canada, 19 % des proches aidants consacrent de 10 à 19 heures de leur temps par semaine à aider un proche, alors que 20 % des proches aidants y consacrent plus de 20 heures. C’est 75 % des soins qui sont fournis par des proches aidants non rémunérés, ce qui représente de 26 à 72 milliards de dollars en travail par année. Ceci réduit bien sûr les coûts des soins de santé, diminue l’impact sur les services de soins à domicile et permet aux bénéficiaires de recevoir les soins dont ils ont besoin à la maison. Sans leur apport au système de santé, la structure se trouverait grandement fragilisée. Soutenir le proche aidant Un proche aidant qui consacre plusieurs heures de son temps à aider un bénéficiaire le fait bien sûr par gentillesse et bonté, mais c’est avant tout un engagement. À priori, cela est gratifiant et valorisant. Mais à force d’y passer tout son temps et de ne pas avoir de soutien, on peut voir apparaître chez lui des troubles de santé physique et voir son bien-être mental affecté. La Fondation Proches aimants soutient d’ailleurs les proches aidants dans leur dévouement en informant la population de la situation des proches aidants au Canada, tout en inspirant les gens d’ici à aider. Vous êtes un employeur, un ami ou un conjoint d’un proche aidant ? Soyez à l’affût de leurs besoins en matière de santé physique et mentale. Vous êtes un proche aidant qui avez besoin d’aide ? Consultez le site Appui proches aidants pour voir comment on peut vous soutenir. Le site peut aussi vous mettre en contact avec un service téléphonique d’écoute, d’information et de références. Ce service, confidentiel et gratuit, s’adresse aux proches aidants et à leur entourage. Sources Barylak, L. et Guberman, N. (2016). Beyond Recognition–Caregiving & Human Rights in Canada: A Policy Brief. Tiré de : http://www.carerscanada.ca/wp content/uploads/2016/02/CCC_Policy_ brief_Human_rights_EN.pdf The Change Foundation. (2019). Spotlight on Ontario’s Caregivers Report 2019. Tiré de : https:// changefoundation.ca/spotlight-on-caregivers-report/ Family Caregiver Alliance. National Centre on Caregiving. Définitions. Tiré de : https://www. caregiver.org/definitions-0Les effets négatifs du changement d’heure sur votre santé
Deux fois par an, c’est la même histoire, on change d’heure ! Cet automne, il aura lieu dans la nuit du 5 au 6 novembre. Cette fois, on recule d’une heure. Un bon truc pour se souvenir si l’on doit reculer ou avancer : en mArs on Avance et en novembRE on REcule. On parle beaucoup de l’origine du changement d’heure dans les médias, mais saviez-vous que ce fameux changement d’heure provoque des effets bien réels sur notre santé ? Horloge biologique perturbée Pour simplifier, notre cerveau a une horloge biologique de 24 h, qui se nomme le cycle «circadien». Ce cycle gère et régule plusieurs fonctions de notre corps, comme la digestion, par exemple. Le changement d’heure a un grand impact sur notre sommeil et dérègle notre horloge biologique. Le changement d'heure du printemps est reconnu plus difficile que celui d’automne, car on perd une heure au lieu de la gagner. Mais le changement d’heure de l’automne dérègle suffisamment notre cycle circadien pour causer plusieurs effets bien documentés, comme : — le manque de sommeil— la mauvaise humeur
— de la difficulté à se concentrer
— des maux de tête
— des rages de sucre L’impact de ce changement est souvent plus difficile pour les personnes dont l’horaire est plus rigide, on pense aux travailleur•euses qui débutent tôt et les jeunes enfants. Plusieurs études ont aussi démontré une augmentation des accidents de la route et une baisse générale de la productivité. L’adaptation au changement d’heure dépend des individus, mais peut prendre jusqu’à une semaine, parfois plus. Comment s’y préparer Comme les effets du changement d’heure s’apparentent aux difficultés de sommeil, les conseils se ressemblent aussi. Voici quelques trucs et astuces : — privilégier la pause du midi pour aller dehors
— moins s'exposer à la lumière bleue des écrans ordi, tablettes, cellulaires
— diminuer la consommation de café et d’alcool
— faire de l’exercice dans la journée
— utiliser des méthodes de relaxation avant le coucher Avec les enfants, un bon truc est de devancer de 15 minutes l’heure du coucher chaque soir des jours précédents. Il faut aussi privilégier la consommation des bonbons d’Halloween (s’il en reste !) et du sucre dans la journée plutôt qu’au dessert du souper. L’acupuncture au service du sommeil L’acupuncture, comme la lumière naturelle, augmente la sécrétion de la sérotonine, ce qui a un effet global sur le corps. Le traitement de changement d’heure, tout comme celui du décalage horaire, vise à rééquilibrer l’organisme et à rétablir le fonctionnement régulier des différents systèmes qui sont perturbés par les changements de l’environnement. Le sommeil, l’humeur, la digestion et l’énergie sont rapidement améliorés. Pour prendre rendez-vous avec l'une de nos trois acupuncteures chez Clinique Hévéa, suivez ce lien.
C'est la journée mondiale de l'acupuncture
Le 24 octobre, c’est la journée mondiale de l’acupuncture (Acupuncture & Herbal Medicine Day). Profitons de ce moment pour mettre en lumière la reconnaissance de cette médecine millénaire. L'acupuncture en gros L’acupuncture est une des composantes de la médecine chinoise qui comprend également la diététique, la pharmacopée (herbes), les exercices (Qi Gong) et le massage (Tuina). L’acupuncture consiste à stimuler certains endroits du corps (points d’acupuncture), et ce dans le but d’améliorer la santé au moyen notamment d’aiguilles, de chaleur, de pression, de courant électrique ou de lumière (laser). L’acupuncture, en tant que médecine globale, considère tous les aspects de la vie de l’individu, dont les émotions, les habitudes alimentaires, l’activité physique, le travail et l’hygiène de vie. La médecine chinoise considère que l’être humain est formé d’énergies « Yin » que nous pouvons considérer comme étant les tissus, les organes et le sang, entre autres, et d’énergies « Yang » qui sont représentées par la vitalité, le mouvement et toute l’activité relative aux organes. Les énergies de chacun des organes se reflètent et circulent sur tout le corps en suivant des trajets appelés méridiens. C’est sur ces derniers que I'on retrouve l’ensemble des points d’acupuncture. Grâce aux trajets des méridiens, les organes entretiennent entre eux des rapports étroits. Ainsi, dès qu’un organe est influencé par l’alimentation, les émotions, le surmenage, le stress, les conditions climatiques, le vieillissement, un traumatisme, etc., l’équilibre s’en ressent et les autres organes vont manifester eux aussi des signes de dysfonctionnement. Ce processus conduit à des déséquilibres énergétiques plus ou moins graves selon le cas. L’acupuncture au Québec Au Québec, la profession d’acupuncture est réglementée par l’Ordre des acupuncteurs du Québec depuis 1995, après avoir été pendant plus de 10 ans régie, non sans opposition, par le Collège des médecins. Une profession réglementée, c’est l’assurance de la surveillance de l’exercice par une instance gouvernementale, comme la profession médicale qui l’est par le Collège des médecins ou toute autre profession qui est régie par un ordre professionnel (psychologue, physiothérapeute, chiropraticien, etc.) Par conséquent, au Québec, seuls les acupuncteurs membres de l’Ordre des acupuncteurs du Québec détiennent le privilège de pratiquer l’acupuncture. La reconnaissance de l’acupuncture dans le monde L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié en 2002 un rapport qui reconnaît que l’acupuncture est efficace pour traiter plus de 120 affections. Au Canada, l’acupuncture est réglementée et reconnue comme soin de santé dans cinq provinces, notamment en Colombie-Britannique, où le régime public en assume partiellement les frais. Au Québec, la CNSST et la SAAQ intègrent également les traitements d’acupuncture à leurs régimes. Clientèle pouvant bénéficier de l’acupuncture L’acupuncture s’adresse aux femmes, aux hommes et aux enfants de tous âges. Des conditions inflammatoires, la douleur (blessure sportive ou autre), la fertilité, la grossesse (nausée, fatigue ou autre), la périménopause, la fatigue et l’anxiété, entre autres, peuvent bénéficier de traitements d’acupuncture. Aussi, dès la naissance, le bébé peut avoir recours à l’acupuncture. Lisez notre blogue à ce sujet. Pour en apprendre davantage sur les conditions pouvant être traitées et les bienfaits de l'acupuncture, suivez ces liens de l'Association des acupuncteurs du Québec. Troubles traités par acupuncture Bienfaits et mécanismes de l'acupuncture Pour prendre rendez-vous avec l'une de nos trois acupuncteures chez Clinique Hévéa, suivez ce lien.L'acupuncture pédiatrique pour vos petits
Les bébés et les enfants, avec leur énergie florissante, répondent particulièrement bien aux traitements d’acupuncture.Plusieurs conditions peuvent être traitées chez les enfants. Les traitements sont généralement brefs et peu de séances sont nécessaires pour voir apparaître des résultats significatifs. Ce que traite l'acupuncture Maux de ventres et coliques Reflux gastriques Diarrhée Constipation Rhume à répétition , otites, sinusites Toux Asthme, allergies non alimentaires Troubles du sommeil, terreurs nocturnes Énurésie (pipi au lit) La plupart des enfants aiment se faire traiter en acupuncture. Le thérapeute suit le rythme de l’enfant et lui présente sous forme de jeu. Curieux de nature, ils s’amusent lors des séances et apprécient être impliqués dans le déroulement du traitement. Est-ce douloureux? Les traitements sont peu douloureux chez l’enfant tout comme chez l’adulte et le thérapeute s’ajuste au seuil de tolérance de l’enfant. Les outils utilisés sont de fines pointes d’aiguilles sur collants qui sont à peine perceptibles pour l’enfant. Il est possible de ressentir un léger pincement , mais cette sensation disparaît normalement après quelques secondes. Il existe aussi des moyens alternatifs pour compléter le traitement tel le petit laser, l’acupression et le rouleau pour enfant. Faut-il rester immobile? Si vous avez déjà reçu un traitement d’acupuncture, vous avez sans doute été étendu avec les aiguilles en place pendant un certain temps. Les traitements pour les enfants se déroulent différemment. Nous nous ajustons en fonction de l’âge et du besoin de bouger de l’enfant. Des aiguilles de très petites tailles peuvent être maintenues en place par un collant, laissant l’enfant libre de bouger et de s’amuser pendant que le traitement se déroule. D’autres aiguilles peuvent être laissées en place pour une durée de quelques secondes à quelques minutes, en fonction de la tolérance de l’enfant. La séance se déroule souvent sous forme de jeu. Des jouets et des livres sont mis à la disposition de l’enfant, et vous pouvez lui apporter un jouet ou un objet qu’il aime particulièrement. À partir de quel âge ? Il est possible de traiter un bébé en acupuncture dès les premières semaines de vie. Le traitement est adapté en fonction de l’âge du bébé et de ses besoins. Le bébé peut être traité dans les bras de l’un de ses parents, si nécessaire. Il est aussi possible de l’allaiter ou de lui donner un biberon en cours de traitement. Pour prendre rendez-vous avec Julie Rivard qui affectionne particulièrement cette clientèle : Clinique Hévéa Julie Rivard Ac.Et si on changeait notre regard sur la ménopause ?
En cette journée mondiale de la ménopause et pour toutes celles qui auront à vivre - ou vivent déjà - cet état, nous vous offrons un nouveau regard. La ménopause, une fatalité au mi-temps de la vie des femmes La ménopause est-elle vraiment une menace au bien-être de la vie des femmes ? Cette idée que nous subirons les effets négatifs de la baisse, puis de l’absence des hormones, nous est suggérée depuis que nous sommes toutes petites. Bouffées de chaleur et transpiration gênante nous attendent de pied ferme en échange de l’absence de menstruations. Étonnamment, tout à l’opposé de ce scénario, la médecine chinoise qualifie la ménopause de « deuxième printemps ». Cela peut paraître contradictoire, mais il y a là une conception intéressante de ce passage de la vie. Du point de vue de la médecine chinoise La ménopause est définie par l’arrêt complet des menstruations pendant 1 an. Cet arrêt survient après 6 à 8 ans de périménopause, période où les menstruations sont irrégulières et où l’on observe une diminution du flux menstruel. La médecine chinoise explique cette période de transformation : l’énergie est de moins en moins dirigée vers la procréation et sera orientée vers le Cœur, siège de la pensée et des émotions, nourrissant notre sagesse intérieure. C’est ce qu’on appelle le « deuxième printemps ». Que se passe-t-il vraiment ? Si l’âge moyen de la ménopause est de 51 ans, la majorité des femmes vivra déjà des changements physiques et psychologiques dès le début de la quarantaine. Œstrogène et progestérone comptent plus de 300 fonctions dans le corps de la femme. Leurs variations entrainent plusieurs changements et les symptômes de la périménopause sont multiples et propres à chacune : cycles menstruels raccourcis ou allongés, flux menstruel plus léger ou avec caillots, bouffées de chaleur, sueurs nocturnes, insomnie, sautes d’humeur, hypersensibilité, difficulté de concentration, sécheresse vaginale, peau sèche, yeux secs, infections urinaires récurrentes, etc. Les facteurs Plusieurs facteurs influencent les caractéristiques de la périménopause et de la ménopause. La génétique joue un rôle autant sur l’âge à laquelle apparaît la ménopause que sur la prédisposition à certains symptômes, notamment les bouffées de chaleur. L’alimentation peut aussi avoir un impact sur l’âge d’apparition de la ménopause : elle arrivera plus tard chez celles qui consomment de bonnes quantités de poisson, légumes frais, vitamine B6 et zinc et à l’inverse, s’annoncera plus tôt si l’on consomme pâtes et riz industrialisés. Certains aliments, tels le café, l’alcool, le sucre, les viandes rouges et certaines épices vont favoriser les bouffées de chaleur. L’exercice serait un atout pour diminuer les symptômes par son impact sur le fonctionnement des glandes surrénales et la sécrétion d’endorphines. Des recherches actuelles se penchent sur les effets négatifs de la baisse d’œstrogènes qui pourraient être prévenus par une réduction de la consommation des glucides et lipides, conjuguée à une augmentation de protéines et la pratique régulière d’exercice (encore lui, oui). Comment l’acupuncture peut vous aider ? L’acupuncture s’inscrit dans une approche globale. Conjuguée aux bonnes habitudes de vie, elle peut vous aider à vivre ces années plus sereinement. La médecine chinoise explique les symptômes de la ménopause par le déclin du Yin, dont le rôle est de nourrir et rafraîchir, en équilibre avec le Yang, qui lui réchauffe et dynamise. Le Yin diminue et n’arrive plus à contenir le Yang trop abondant, d’où bouffées de chaleur, insomnie, irritabilité, infections urinaires, peau sèche, etc. Il se peut aussi que le Yang faiblisse et que certaines femmes expérimentent plutôt de la fatigue, de la rétention, un gain de poids, de l’incontinence. Parfois, c’est aussi tout cela en même temps. L’acupuncteur.e fait un portrait précis de votre état et adapte le traitement en fonction de chacune. Des séances d’acupuncture plus rapprochées au début et un suivi occasionnel ensuite sont souvent le plan adopté. Se basant sur les principes de la diététique chinoise, l’acupuncteur.e pourra aussi vous conseiller d’éviter les aliments de nature Yang, faciles à retenir grâce à l’acronyme S.A.G.E désignant le Sucré, l’Alcool, le Gras et l’Épicé. Une solution globale L’objectif du traitement en acupuncture est d’établir un nouvel équilibre Yin Yang, d’apaiser cette tempête de symptômes physiques et psychologiques et de vous permettre de vivre cette période plus harmonieusement. Ralentir et prendre du temps pour soi, que ce soit en prenant des rendez-vous réguliers ou en intégrant une activité qui nous fait du bien, fait partie des autosoins qui permettront au « deuxième printemps » de naître en vous. Pour prendre rendez-vous avec l'une de nos trois acupuncteures chez Clinique Hévéa, suivez ce lien.Faire de la santé mentale pour tous une priorité
Quand on pense au mot «santé», le premier réflexe est de songer à sa santé physique, souvent au détriment de sa santé mentale. Pourtant, celle-ci fait partie intégrante de la santé globale de l’individu et doit être considérée lorsque l’on fait son bilan de santé. L’expression «Un esprit sain pour un corps sain» ne vient pas de nulle part ! Le 10 octobre, pour la trentième année consécutive, la Journée mondiale de la santé mentale vise à mettre de l’avant les divers enjeux liés à la santé mentale. «Faire de la santé mentale pour tous une priorité mondiale», le thème de 2022, est tout à fait d’actualité : la pandémie a dramatiquement mis en évidence le manque de ressources en santé mentale, ici et ailleurs. Des facteurs de risques Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), une personne sur 8 vivait déjà avec un trouble mental avant la pandémie. Si la pandémie a malmené la population, l’inflation actuelle et les enjeux environnementaux ne donnent pas beaucoup de répit et peuvent s’avérer anxiogènes. Plusieurs facteurs de risques ont contribué à fragiliser les individus, notamment la précarité de l’emploi, les finances personnelles, les consignes sanitaires pas toujours faciles à suivre, les enjeux liés au télétravail et les relations tendues (dans les familles, avec les employeurs et les collègues). Le stress et l'anxiété peuvent se manifester de façons différentes selon les individus et peuvent affecter autant la santé physique (maux de tête, problèmes digestifs, sommeil, appétit) que psychologique (inquiétude, sentiment d’impuissance, négativité, découragement, tristesse, etc.). Il est important d’apprendre à prendre soin de soi, de se permettre d’exprimer des sentiments et émotions. Adopter de saines habitudes de vie comme bouger, bien s’alimenter et dormir suffisamment peuvent avoir un impact salutaire, tout comme le fait de se permettre de dire non et de poser ses limites. S’il est généralement possible de maîtriser le stress et l’anxiété, il arrive que plusieurs signes et malaises s’accumulent et qu’on n’arrive plus à gérer nos inquiétudes par nous-mêmes. Il est probablement temps de trouver de l’aide. Quoique plusieurs tabous autour de la santé mentale soient tombés avec les années, l’idée de consulter n’est pas toujours bien vue ou encouragée. La stigmatisation et la discrimination peuvent mener les individus à ne pas consulter et à se replier sur eux-mêmes. Le corps et l’esprit Comme nous considérons autant le corps que l’esprit, l’équipe de Clinique Hévéa a réuni des professionnels de santé mentale et physique dans une équipe collaborative. Notre dynamique duo de professionnels de la santé mentale est composé de Chantal Messier (psychothérapeute) et d'Annick Germain (travailleuse sociale). Si le métier de psychothérapeute est mieux connu, la pratique de travail social au privé est plus récente et moins connue. Les travailleurs sociaux sont formés pour traiter le stress, l’anxiété, la dépression, l’épuisement professionnel, la conciliation études-travail-famille, le deuil et plusieurs troubles de santé mentale. L’objectif d’un suivi en travail social est d’identifier ce qui entrave le fonctionnement optimal de la personne dans son environnement, autant personnel que social, afin de mettre en place des moyens concrets pour retrouver l’équilibre. Votre professionnel chez Clinique Hévéa peut vous diriger vers une ressource. N'hésitez à lui en parler.L'allaitement chez Clinique Hévéa
Clinique Hévéa, avec ses professionnels habitués de recevoir une clientèle qui allaite, souhaite vous informer des bienfaits de nos traitements pour les femmes qui allaitent. Voyez comment nos professionnels peuvent les soutenir et accompagner ces femmes. Acupuncture et allaitement L’acupuncture s’est intéressée à plusieurs conditions et maux qui peuvent survenir lors de l’allaitement. Ces maux s’expliquent souvent par un déséquilibre énergétique, suite à la grossesse et l’accouchement, que l’acupuncture peut corriger à travers d’un ou plusieurs traitements. L’agalactie (absence ou retard de la montée laiteuse) et l’hypogalactie (faible quantité de lait), qui sont des troubles de lactation, peuvent entraîner des conséquences sur un allaitement, alors que bébé n’aura pas la capacité de se nourrir adéquatement. L’acupuncteur pourra administrer un traitement qui vise à augmenter la production lactée et ainsi permettre à bébé d’avoir la quantité de lait souhaité (à condition qu’il arrive, bien sûr, à téter efficacement). Il arrive aussi que les seins, en début d’allaitement, produisent beaucoup trop de lait. En conséquence, une congestion et des crevasses peuvent s’installer et provoquer une mastite. En favorisant l’écoulement et le drainage, l’acupuncture peut aider à la résorption d’un sein engorgé. L’acupuncture peut aussi être pratiquée afin d’accélérer un sevrage. Idéalement, pour la mère et le bébé, le sevrage se fait sur plusieurs semaines. Mais il peut arriver qu’une mère ait à cesser drastiquement son allaitement, par exemple dans le cas de l’administration d’un traitement pharmacologique urgent qui n’est pas compatible avec l’allaitement ou suite à un accident. Pour consulter nos acupuncteures. L’allaitement et la chiropratique La chiropratique est une alliée de choix pour aider à l’allaitement. Les traitements permettent de diminuer les tensions au dos de la nouvelle mère parfois causées par les longues périodes d’allaitement. Une meilleure santé physique de la mère permet aussi un meilleur positionnement du bébé facilitant ainsi la prise au sein.Quant au bébé, la chiropratique aide au relâchement des tensions pouvant être présentes suivant la naissance au niveau du dos, du cou et même de la mâchoire du nouveau-né. Les soins favorisent un bon positionnement du bébé lors de l’allaitement et facilitent la prise au sein.
À noter qu’une mère non allaitante peut également bénéficier des soins chiropratiques puisque certaines tensions peuvent tout de même se présenter lors du positionnement du bébé au biberon. Cela en va de même pour le nouveau-né. Pour consulter nos chiropraticiennes. L’allaitement, un grand changement Accueillir un nouveau-né est souvent perçu comme une source instantanée de bonheur. Toutefois, certaines mères et certains pères le vivent autrement en raison des changements que cette venue occasionne, tant au niveau de l’allaitement que du couple et de la fratrie. Si l’allaitement est universellement reconnu pour ses avantages, il est important de respecter ses choix et ses limites. Certaines femmes vivent la fin de leur allaitement, ou le choix de ne pas allaiter, comme un échec. Notre travailleuse sociale peut vous accompagner dans cette période de grands changements et d’adaptation. Quelques ressources Santé publique du Canada — Dix bonnes raisons d’allaiter votre bébé Santé Montérégie et CLSC — Soutien à l’allaitement Fédération Nourri-Source — Soutien à l’allaitement Amitié matern’elle — Pour avoir une marraine d’allaitement (Roussillon) MAM Autour de la maternité — Soutien à l’allaitement/Marraine d’allaitement maternel
En septembre, on jase arthrose
C’est le mois de la sensibilisation de l’arthrite. Profitons-en pour démystifier cette condition courante et pour vous offrir quelques pistes de solution pour vous soulager. Qu’est-ce que l’arthrose/arthrite ? D’abord, le mot arthrite vient du latin arthro (articulation) et du suffixe ite (inflammation) et signifie donc inflammation de l’articulation. Lorsqu’on parle d’arthrite, on fait référence à une large famille d’affections articulaires assez variées, dont l’arthrite rhumatoïde, l’arthrite psoriasique, la spondylite ankylosante et bien sûr l’ostéoarthrite, communément appelée arthrose. L’arthrose est de loin l’affection la plus courante, touchant un Canadien sur 10. Il s’agit d’une dégénérescence du cartilage qui recouvre les extrémités osseuses formant les articulations. Imaginez le cartilage intact, telle une belle glace de patinoire bien lisse après le passage de la Zamboni. En comparaison, le cartilage touché par l’arthrose aura plutôt l’apparence de la surface glacée rayée de fissures après la première période d’un match de hockey ! L’arthrose peut toucher toutes les articulations du corps, mais plus souvent les mains, les genoux, les hanches et la colonne vertébrale. Les symptômes sont des raideurs matinales, de la douleur, une enflure avec une réduction de la mobilité ainsi que des crépitements dans l’articulation. Certains facteurs peuvent nous prédisposer à l’arthrose notamment l’âge, les facteurs génétiques, le surpoids, une blessure ou de la surutilisation des articulations. Prévenir et soulager l’arthrose On ne peut guérir l’arthrose, mais on peut la freiner et en gérer la douleur. Les professionnels de la Clinique Hévéa vous offrent leur expertise pour vous aider à gérer les désagréments qu’elle cause. Tel le pneu d’une roue mal alignée qui s’usera prématurément à cause de la friction qui s’exerce sur lui, les articulations qui subissent un stress anormal souffriront d’une dégénérescence prématurée. Un genou qui a subi un traumatisme pendant l’adolescence, une entorse cervicale subie dans un accident d’automobile ou une mauvaise posture à long terme peuvent entraîner des stress mécaniques qui prédisposent à l’arthrose. Justement, votre chiropraticien peut déceler ces dysfonctions biomécaniques et les corriger par des ajustements articulaires et ainsi limiter les stress articulaires excédentaires. Telle une penture de porte bien lubrifiée et bien utilisée, une articulation aura tendance à mieux fonctionner si elle est utilisée. C’est pourquoi l’activité physique contribue à garder les articulations mobiles et à développer la force des muscles qui les supportent. La physiothérapie peut vous offrir un programme d’entraînement personnalisé ainsi que des conseils spécifiques liés à vos activités sportives préférées pour éviter les blessures et les surcharges à vos articulations. Aussi, au moyen de mobilisations articulaires et de techniques musculaires, elle visera à augmenter la mobilité et la souplesse et ainsi améliorer les symptômes du patient. Pour savoir comment la physiothérapie peut vous aider, consulter ces fiches d’informations sur le site de la Word Physiotherapy. L’acupuncture, quant à elle, par son action locale, augmente la circulation sanguine au site de douleur ce qui permet aux tissus articulaires d’être mieux nourris et aux muscles de s’assouplir. Elle a un aussi un effet global de réduction de la douleur via son action sur le système nerveux central. La recherche sur le soulagement des symptômes de l’arthrose par l’acupuncture a démontré que celle-ci aide à réduire la douleur et augmente la mobilité, autant à court terme (13 semaines) qu’à long terme (plus de 12 mois). Consultez le site de la Société d’arthrite Canada pour en apprendre davantage sur les bienfaits de l’acupuncture en cas d’arthrite. Gérer l’effet de la douleur sur mon moral Nous sommes consicents que la douleur et les désagréments associés à ces conditions articulaires peuvent miner votre quotidien. Dans ce cas, on pourra vous référer vers un professionnel compétent qui saura vous offrir une écoute attentive en plus de vous suggérer des outils pour aborder plus sereinement la douleur aiguë ou chronique en lien avec votre condition physique. De plus, ce professionnel pourra vous diriger vers des ressources ou des groupes de soutien ou vous mettre en contact avec d’autres individus qui vivent une situation semblable. Vous expérimentez de la douleur en raison de l’arthrite ? Consultez un de nos professionnels pour vous aider à gérer les symptômes qui y sont associés.Faire rimer retour en classe avec bien-être et bonne humeur
Bien que la rentrée des classes demande une certaine préparation, la majorité des parents sont souvent heureux de renouer avec ce moment. En effet, avec la rentrée vient un retour à la routine. Toutefois, certaines inquiétudes chez parents et enfants peuvent surgir et déstabiliser une organisation familiale tellement nécessaire pour le calme de tous. Voici quelques conseils de membres de notre équipe. Prévoir les deux premières semaines Nancy Deschênes, acupuncteure, propose ces deux conseils pour baisser le niveau de stress familial chez les parents et les enfants en début d’année scolaire. Dans un premier temps, elle vous suggère d’inviter vos enfants à choisir ce qu’ils veulent dans leur lunch et à préparer eux-mêmes leur repas. Cela augmente leur sentiment de contrôle et c’est excellent pour leur estime. Pour les parents, elle vous propose de ne pas hésiter à avoir recours au service de traiteur de votre école. Cela décharge des tâches et laisse plus de temps pour accompagner l’enfant dans ce qu’il vit avec la rentrée. Qui plus est, cela permet à l’enfant de manger chaud, ce qui est souvent recommandé en médecine traditionnelle chinoise avec l’arrivée de la saison froide. Pour calmer le niveau d’anxiété Une rentrée des classes doit se faire avec le sourire. Et pour que cela se produise, il importe de bien organiser sa rentrée, ce qui implique d’avoir en main tout le matériel demandé et de planifier ses activités sportives, culturelles, amicales et de travail en conséquence. Pour concilier le tout, elle rappelle de se modérer et de se permettre des moments de pause à l’agenda. Son matériel et son horaire en main, il ne reste qu’à avoir du plaisir ! Plaisir à apprendre et à rencontrer de nouvelles personnes. Parce qu’aller à l’école, c’est aussi bon pour la santé globale et mentale. Et le physique, dans tout cela ? Parce que chez Clinique Hévéa on se préoccupe aussi de votre santé physique, Samantha Toporowicz, chiropraticienne, a quelques conseils pour protéger votre dos et celui de votre enfant : Le sac à dos devrait avoir des bretelles rembourrées et ajustables de 2 pouces de largeur ainsi que des sangles à la hauteur des hanches et du torse ; Le haut du sac ne devrait pas dépasser le haut des épaules et le fond du sac ne devrait pas être plus bas que les hanches ; Le poids devrait y être bien réparti grâce à différentes pochettes et les objets les plus lourds devraient être placés le plus près possible du dos ; Le poids du sac à dos rempli ne devrait pas dépasser 10 % du poids d’un enfant du primaire et 15 % du poids d’un enfant du secondaire. Pour davantage de précisions sur l’ajustement du sac à dos, consultez notre blogue complet sur le sujet. Nos professionnels chez Clinique Hévéa peuvent vous aider à rendre cette période plus agréable. Consultez la fiche de nos professionnels sur notre site web pour voir comment chacun d’eux peut vous accompagner. Bonne rentrée à tous !Apprivoiser l'anxiété, un jour à la fois
Le pourcentage de personnes anxieuses ayant atteint des sommets dans les dernières années, Clinique Hévéa souhaite vous partager quelques informations sur cette condition. Est-ce normal, ou pas, d’avoir des épisodes anxieux ? Saviez-vous que tout le monde éprouve un jour ou l’autre de l’anxiété ? Elle permet de nous adapter à certaines situations qui pourraient être dangereuses ou inquiétantes. Chercher à l’éliminer complètement devient donc utopique. Elle disparaît graduellement dès que notre quotidien reprend son cours régulier. Voir les symptômes qui y sont associés. À quel moment l’anxiété devient-elle trop envahissante ? Un état anxieux qui perdure n’est pas souhaitable, surtout si cet état vous empêche d’accomplir vos tâches de la vie quotidienne ou de participer à des rencontres entre amis. L’anxiété devient donc un problème lorsque : elle ne disparaît pas quand la situation préoccupante revient à la normale ; elle occasionne un niveau de détresse important ; elle n’est liée à aucun événement de vie, c’est-à-dire qu’elle apparaît sans raison ; elle préoccupe continuellement la personne ; elle empêche la personne de fonctionner et d’agir normalement au travail, en société ou dans d’autres domaines de la vie quotidienne. Source : À propos des troubles anxieux Quand consulter ? N’attendez pas d’être complètement envahi par vos symptômes pour consulter. En effet, plus la personne consulte tôt, plus le rétablissement sera rapide. En consultant un professionnel en santé mentale, vous disposerez de nouveaux outils pour affronter ces situations anxieuses et vous pourrez identifier la source de cet état afin d’en éviter les manifestations. Surtout, n’hésitez pas à consulter si vous vivez de la détresse ou si vous avez de la difficulté à assurer vos responsabilités sociales, professionnelles ou familiales. Quelques idées ressources pour vous aider à calmer l’anxiété passagère Balado Tout pour être heureux, de la fondation Jasmin Roy. Proposés par Nicole Bordeleau, des dizaines de balados avec des réflexions, exercices de respiration et méditations sur des thèmes reliés à l’anxiété. Livres Bye Bye anxiété : 101 exercices pour mettre fin aux peurs, angoisses, phobies et autres paniques !, Tanya J. Peterson, Saint-Jean Éditeur. Je pense trop. Comment canaliser ce mental envahissant, Christel Petitcollin. Éditions de l’Homme. Par amour du stress, Sonia Lupien. Éditions au carré. Pour aller plus loin Vous souhaitez mieux comprendre ce qui se cache derrière vos symptômes d’anxiété et prévenir les épisodes anxieux qui persistent ? Nous vous invitons à nous en parler pour vous diriger vers la bonne ressource.Notre top 5 d’exercices de tonification à faire dans la piscine
La pratique d’une activité physique dans l’eau est excellente pour le corps, bien sûr, mais aussi pour la santé mentale. C’est bien connu : bouger permet au cerveau de libérer des endorphines qui améliorent l’humeur et qui ont un effet positif sur le niveau d’énergie et sur le sommeil. Tout cela mis ensemble contribue à améliorer la confiance en soi et la résilience, et même à réduire la douleur ! (Bouger pour être en bonne santé… mentale !, INSPQ, numéro 10, septembre 2015). Cinq exercices simples Pour renforcer les bras Prenez une frite dans chaque main le long du corps et fléchissez les jambes en fente (l’une vers l’avant, l’autre vers l’arrière). Enfoncez les mains dans l’eau, bras tendus. Gardez le dos bien droit et les abdos contactés. Remontez les coudes et enfoncez-les de nouveau à votre rythme. Les frites peuvent être poussées simultanément ou à tour de rôle. Pour augmenter la résistance de l’eau, placez les épaules sous la surface de l’eau. Pour muscler les abdominaux Prenez une frite que vous faites passer dans votre dos et dont vous ramenez les extrémités dans vos mains vers l’avant. Appuyez votre dos sur la frite et ramenez vos genoux vers votre poitrine, puis repoussez les pieds vers l’avant pour faire des mouvements de va-et-vient. Pour galber les fessiers À faire dans la partie peu profonde, talons collés — autant que possible — pliez les jambes comme une grenouille. Vos genoux seront alors écartés et tournés vers l’extérieur. Sautez aussi haut que possible puis revenez à la position initiale. Rires garantis ! Pour tonifier les jambes Le plus populaire des exercices de tonification dans l’eau est sans aucun doute le battement des jambes. Vous pouvez soit le pratiquer en vous tenant au bord de la piscine ou à l’aide d’un accessoire flottant (planche ou frite). Allongé sur le ventre, ou même sur le dos, effectuez de rapides battements de jambe. Puisque la résistance sera augmentée par l’eau, ils seront encore plus efficaces si vous gardez les jambes sous l’eau. Pour muscler les pectoraux Les jambes en fentes, ouvrez latéralement les bras puis refermez-les devant vous. Jouez avec la résistance de l’eau pour augmenter le niveau de difficulté. Combien de temps ? Visez 30 minutes par jour, donc 5 à 6 minutes par exercice. Vous pouvez faire des séries de 10, 15 ou 20 répétitions, puis prendre 10 secondes de pause et recommencer. Vous avez moins de temps que prévu ? Réduisez le temps. Mieux vaut en faire un peu moins que pas du tout. Et si vous expérimentez une douleur lors de ces exercices, consultez l'un des professionnels de notre équipe. Nous ferons le nécessaire pour vous permettre de poursuivre vos activités. Bon été à tous !La longue route des vacances : attention à votre posture
Qui dit «vacances» dit souvent «longues heures sur la route». On assume — à tort — qu’assis dans sa voiture ou sur une chaise, c’est pareil ! S’il est agréable d'avaler les kilomètres pour découvrir de nouveaux coins de pays, quelques conseils pratiques pourraient vous économiser bien des maux ! N’oubliez pas de vous hydrater durant le trajet ! Derrière le volant La personne qui conduit est loin d’être passive : elle doit garder un œil sur la route, sur les rétroviseurs, tenir le volant, coordonner ses jambes sur les différentes pédales, ajuster la ventilation, etc. C’est sans compter sur les passagers dont elle a la responsabilité qui peuvent la distraire, particulièrement si on a de jeunes enfants. Ajustements du siège Selon les spécialistes de la Clinique Hévéa, le conseil le plus important est au niveau de la posture : le dos doit être bien droit. Les voitures ont des commandes de position de plus en plus précises, ajustez-les correctement avant de prendre la route. Si l’on repose notre dos et nos épaules contre le dossier, on doit être capable de poser la paume des mains sur le volant sans courber les épaules et sans étirer les bras. Même chose pour les pédales, on doit éviter d’avoir la jambe en extension. Un bon indicateur : on devrait pouvoir placer le pied au plancher sous le frein, sans effort. Si vous touchez les pédales de la pointe des pieds, rapprochez-vous. Le volant Certains volants ont aussi des ajustements, la plupart sont inclinables et rétractables. Le haut du volant doit être vis-à-vis votre menton. On recommande souvent la position des mains en se référant aux aiguilles d’une horloge. Traditionnellement, la position 10h10 était enseignée, mais pour une conduite plus reposante et qui permet une meilleure réaction face aux imprévus sur la chaussée, la position 9h15 est maintenant plus fortement recommandée. Une fois bien installé, vous pouvez ajuster vos rétroviseurs. Pour les occupant•es du véhicule Les occupants aussi doivent ajuster leur siège pour un maximum de confort. Malheureusement, la banquette arrière est souvent moins ajustable. Pour les bébés et les enfants, il faut suivre à la lettre les instructions du fabricant à propos du siège ou du rehausseur. L’appuie-tête On néglige trop souvent l’ajustement de l’appuie-tête, dont le centre vertical doit être aligné à la hauteur de vos yeux. S’il est possible de le rapprocher, il est préférable de l’ajuster près de la tête. Un appuie-tête mal ajusté, c’est comme ne pas en avoir. En l'ajustant correctement, on diminue grandement les risques de douleurs cervicales. Coussins lombaires Il existe des centaines de produits pour améliorer le confort sur la route. Parmi eux, certains coussins lombaires peuvent aider à réduire la fatigue musculaire lorsqu’on effectue de longues distances. Il est suggéré de vérifier si ces produits sont recommandés par des associations professionnelles, ou par des associations de protection du consommateur. S’habiller de façon appropriée Nous recommandons de porter des vêtements amples et confortables, appropriés à la saison. Des vêtements trop ajustés pourraient gêner votre circulation sanguine. Une bonne idée est d’apporter une petite veste ou une couverture légère, car personne n’a le même niveau de confort face au vent ou à la climatisation ! Penchés sur nos appareils mobiles De plus en plus, les passagers (enfants, ados ou adultes) peuvent passer plusieurs heures à consulter un appareil mobile, une tablette ou une console de jeu pendant les longs trajets. Pour les passagers assis à l’arrière, il existe des supports qui permettent d’accrocher l’appareil à une meilleure hauteur derrière le siège opposé. Sinon, on peut aussi placer des coussins sur les genoux qui permettent de rehausser l’appareil et d’y reposer les mains. L’objectif est de garder la tête droite par rapport à l’appareil afin d'éviter les douleurs aux épaules, au cou et au dos. Et n’oubliez pas de regarder un peu dehors, vous risquez de manquer le paysage ! Faites des arrêts fréquents ! Pour vous dégourdir, rien n’est aussi efficace que de faire de courts arrêts périodiques. Dès que vous sentez un peu de fatigue, ou au moins chaque deux heures, faites un arrêt. Tout le monde dehors ! Quelques petits étirements devraient suffire à réduire les tensions accumulées au cou, au dos et aux jambes. Lorsqu’arrivé à destination, il est recommandé de ne pas exiger de notre corps un effort intense. En vacances, on a tendance à décharger le véhicule dès l’arrivée. Procédez à quelques échauffements avant de vous charger de valises, de sacs et de glacières ! Pour les longs trajets, c’est une bonne pratique que d’échanger le volant quand c’est possible. Pour gagner du temps, on a tendance à négliger les ajustements du poste de conduite. Ce petit 2 minutes est pourtant précieux et fera toute la différence ! En suivant tous ces conseils, vous mettez toutes les chances de votre côté pour ne pas vous blesser durant vos vacances ! Plusieurs professionnels de la Clinique Hévéa peuvent vous aider si des douleurs persistent après de longs trajets. Contactez-nous pour prendre rendez-vous !Quelques astuces pour jardiner sans s’occasionner de blessures
L’hiver et ses maux de dos occasionnés par le pelletage sont enfin derrière nous. Mais attention! Le jardinage comporte aussi son lot de désagréments et de blessures potentielles. Voyons comment rendre le jardinage sécuritaire et agréable pour le squelette. Tout d’abord, échauffez-vous ! Avant d’entreprendre une activité, s’échauffer demeure toujours une bonne idée, surtout si vous ne l’avez pas pratiquée depuis longtemps. En effet, les muscles et tendons qui n’ont pas été sollicités depuis un certain temps pourraient être « surpris » de l’effort soudain que vous leur imposez. Faites des pauses Pris d’enthousiasme pour le jardinage, vous pourriez ne pas voir le temps passer. Penser à modifier votre position et à vous dégourdir toutes les 20 minutes ou moins. Écoutez les signaux que vous envoie votre corps. Un tiraillement, un engourdissement ou des fourmillements se font sentir? C’est le moment de changer de bouger ou de faire une pause. Dans ces moments de pause, profitez-en pour respirer efficacement et pour vous hydrater. C’est souvent au grand soleil que le jardinage se fait. Attention aux objets lourds Le jardinage peut ressembler à une activité inoffensive, mais elle comporte tout de même son lot de risques. Soulever des jardinières, des sacs de terre et de paillis peut occasionner des blessures si le mouvement n’est pas fait de manière ergonomique. Pour ne pas vous blesser, pensez à prendre l’objet près de votre corps, à écarter les pieds à la largeur des épaules et à plier les genoux tout en gardant le dos droit. Veillez à ne pas pivoter. Soyez vigilants. Si l’objet est trop lourd, ne le soulevez pas. Enfin, variez les tâches Pensez à vous faire un plan des tâches de jardinage pour ne pas rester trop longtemps dans la même position. Aussi, cela vous permettra de faire une pause, de vous étirer, de respirer et de vous hydrater. Gardez sous la main le diagramme ci-dessus qui vous rappelle comment bien entreprendre une journée de jardinage. Bon été dans les plantes et dans les fleurs ! Et en cas de blessures, consultez un de nos professionnels qui vous aidera à vous remettre sur pied !Pour un déménagement sans douleur
Que l’on utilise les services de déménageurs ou pas, déménager est une activité qui n’est pas sans risque. Il faudra inévitablement déplacer une boîte ou un meuble, parfois même quelques jours après avoir aménagé dans votre nouvelle demeure. Nous avons demandé à l’équipe de la Clinique Hévéa de nous livrer quelques conseils. J’emballe selon mes capacités Une bonne façon de s’assurer de ne pas trop forcer est d’emballer de manière à ce que vos boîtes ne soient pas trop lourdes ou difficiles à soulever. Par exemple, une grosse boîte pleine de livres sera difficile à lever du sol. Il est préférable de faire plusieurs petites boîtes lourdes et de mettre des objets plus légers, comme des vêtements, ou des draps, dans les boîtes plus volumineuses. L’importance des échauffements Comme déménager est un exercice exigeant pour le corps, il est recommandé de toujours débuter par quelques échauffements. Le but des échauffements est de préparer vos muscles et vos articulations à l’effort qu’ils vont subir. Si vous avez déjà votre routine d’échauffements avant un exercice physique, celle-ci est surement déjà appropriée ! Sinon, l’idéal est d’échauffer vos articulations, en pratiquant des rotations avec la tête, les épaules, les poignets, etc. jusqu’aux chevilles. C’est une bonne idée de s’étirer aussi quelques minutes après le déménagement. Prendre des pauses Il est fréquent que nous ayons à traiter des personnes qui se sont blessées en tentant d’aller trop rapidement. Il est préférable d’y aller graduellement, de prendre des pauses et de savoir s’arrêter quand on se sent plus fatigué•es. Les quelques minutes économisées sur les frais de location de camion ne font pas le poids face à tous les inconvénients causés par une blessure! Rien ne sert de prendre plusieurs boîtes à la fois, on risque de s’épuiser et de ne pas bien voir où on met le pied. Faire une bonne planification On s’évite bien des problèmes lorsqu’on s'assure que le camion à une rampe pour charger et décharger, qu’on ait un harnais à deux courroies ou un diable approprié s’il y a des meubles volumineux comme des électroménagers, que l'on porte des gants, qu’on place des tapis antidérapants si certains planchers sont glissants. Toutes ces mesures réduisent les risques de blessures ! Et n’oubliez pas de choisir des chaussures solides et confortables, qui protègent le pied. Évitez les sandales et les tongs, qui peuvent se déchausser en reculant. On plie les genoux ! Au lieu de se pencher pour prendre une boîte, on s’approche de l’objet à soulever et on plie les genoux ! Comme ça, on évite les douleurs au dos. Il faut aussi garder les charges près du corps : on a beaucoup moins de force quand on tient une charge à bout de bras. Un bon truc est de rentrer le ventre, ce qui gaine vos abdominaux et garde le dos droit. Ce n’est pas un concours de force Tout le monde fait sa contribution, et ça ne veut pas dire qu’on doit épater les autres par notre force physique. C’est une meilleure idée de demander de l’aide pour soulever les charges plus lourdes, ou demander aux personnes en meilleure forme que nous si elles peuvent s’en occuper plutôt que de se faire mal par bravoure. Il y a tant à faire durant un déménagement, chacun•e son rôle !En suivant tous ces conseils, vous mettez toutes les chances de votre côté pour ne pas vous blesser ! Si vous ressentez une douleur intense durant le déménagement, il est préférable d’arrêter et de laisser aux autres le soin de terminer. Plusieurs professionnels de la Clinique Hévéa peuvent vous aider si des douleurs persistent. Contactez-nous pour prendre rendez-vous ! Photo par HiveBoxx sur Unsplash